Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... certains endroits. C’est encore très adolescent, mais moins typé banlieue avec inscription en gros caractères gothiques. — Je viens de t’envoyer les fichiers, essaie de sortir les conclusions de l’essai pour vendredi.— Donc, on ne bosse pas en bas aujourd’hui ?— Eh non ! Pendant que tu as pris ton après-midi j’ai nettoyé la bécane, tout seul, dis-je avec un ton de déception.— (sourire) Je t’ai manqué à ce point ? demande-t-elle avec une assurance insoupçonnée.— Oh oui, dis-je en entrant dans son jeu avec une envie folle de retrouver les sensations de la veille. Les iris noisette pétillent, elle s’approche et vient asseoir son fessier sur mon sous-main. J’ai reculé pour lui laisser l’espace nécessaire, elle positionne ses petites chaussures de sport sur l’assise de la chaise, je m’assieds sur ses pieds. Elle écarte ensuite ses genoux vers l’extérieur et se penche pour me parler, malheureusement la fermeture est trop haut placée pour que l’écartement soit suffisant pour une vue en contre-plongée. — Pour samedi, comment voulez-vous que je sois habillée ?— Je ne sais…— Réfléchissez aussi si vous souhaitez un maillot une ou deux pièces pour le jacuzzi.— Euh, pfff…— Prenez votre temps. Elle plante ses yeux dans les miens en attendant une réponse, je suis subjugué par la profondeur et l’intensité de son regard. Elle possède un magnétisme puissant, impossible de lutter avec sa force d’envoûtement. Ses mains graciles se portent à son cou tandis qu’elle se redresse, puis descendent ...
... entièrement la glissière. Aujourd’hui elle me permet d’admirer sa poitrine ornée d’un soutien couleur crème. Les seins sont emprisonnés par de la broderie apposée sur un tissu opaque. Je distingue ses mamelons dressés mais je ne peux pas voir leur couleur et leur texture. — Tenue décontractée exigée, dis-je doucement.— Comme aujourd’hui ?— Ça me va.— Vous êtes certains de votre choix ? Pas de jupe, de robe ?— Ah oui, très bien ça ! Une jolie robe.— Je suis contente que vous précisiez, dit-elle en dégrafant un crochet caché par le nœud situé entre les bonnets. Ballerines ou bottes ?— Des bottes à talons, peut être ? dis-je la voix éteinte par l’émotion.— Bon choix. (le second crochet ne fait plus son office) Vous oubliez les dessous ! À moins que vous préfériez que je les oublie ?— …— La question vous gêne, parlez-moi du maillot de bain, dit-elle en remettant en place le crochet qu’elle venait de défaire.— Une pièce ! dis-je sans réfléchir pour ne pas qu’elle se rhabille. Elle redéfait donc l’attache et la suivante puisque je lui demande dans un souffle de rester naturelle sous ses vêtements. Je souffle comme si je courais un marathon, j’ai l’impression d’être dans une étuve et mon pénis palpite malgré le manque de place. L’étudiante prend plaisir à me torturer, elle continue de me taquiner, jouant sur les mots. — Soit, j’omets ma lingerie. Quand vous dites que je reste naturelle, vous souhaitez aussi que je ne taille rien ? Je deviens aphone tout d’un coup, ce qui a pour ...