50 P’tit branleur sexy (torse nu, casquette à l'envers)
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... toute la virulence dont je suis capable, m’approchant très vite de l’orgasme… Je te pilonne sans me retenir, je te pilonne sans plus m’occuper de toi, tout concentré à mon plaisir qui monte, qui monte, qui monte… Tu es complètement relâché, totalement conquis par ton plaisir passif… désormais à plat ventre sur le matelas, les jambes allongées, écartées comme jamais je n’aurais imaginé les voir un jour… les bras écartés aussi, les mains ouvertes… le visage tourné sur la joue, les paupières fermées… complètement abandonné à mes assauts, à ma sexualité de mec… actif… J’ai juste le temps de t’entendre lancer, la voix déformée par un plaisir des sens qui te submerge, sur un ton plat et beat qui rappelle celui qu’ont les mecs lorsqu’ils planent après avoir fumé un joint : « Putain… tu me défonces vraiment, là… ». Et déjà je sens mon orgasme me submerger… « Je vais venir… » je te préviens, alors que mon premier jet s’échappe déjà de moi… Ta seule réponse sera le silence ponctué par tes halètements… Je viens de jouir et je me sens épuisé, vidé de toute énergie… l’excitation me quitte rapidement et mon corps retrouve instantanément les sensations désagréables d’une respiration qui tente de récupérer de l’effort et d’une transpiration à grosses gouttes qui ruissèle partout sur mon corps… J’ai juste envie de me dégager de toi et de m’allonger sur le lit pour retrouver mes esprits… Mais c’est compter sans toi… car, je vais bientôt le découvrir, tu vois les choses bien différemment… Je ...
... n’ai pas le temps d’atterrir de mon orgasme, ni de retirer ma capote… déjà tes mains m’attrapent… me retournent… tu t'allonges sur moi, la queue raide comme un piquet… j’entends le bruit d’un petit emballage déchiré… c’est la dernière cartouche… ça m’apprendra à prévoir plus large… Tu t'enfonces en moi, tu me baises comme un animal en rut, rageusement… tes coups des bassins ont une puissance et une ampleur inédite… tu as envie de te vider les couilles comme jamais encore je l’ai senti en toi… Ou alors, c’est peut-être ta manière de retrouver ta position de mâle dominant après avoir cédé à la tentation de goûter à l’autre face du plaisir… Regrettes-tu déjà ? Ta virulence est-elle une sorte de vengeance, de catharsis ? Ou bien, juste l’effet d’une excitation incontrôlable apportée par ce nouveau plaisir ? Quoi qu’il en soit, j’adore cette saillie sauvage, rageuse, absolue, inouïe, féroce… une saillie qui ne dure, hélas, pas très longtemps… tu ne tardes pas à venir… tu te vides une nouvelle fois en limant mon ti cul… Lorsque je me réveille le lendemain matin, c’est déjà près de 11 heures… en tendant l’oreille, j’entends des bruits connus… pam pam… boooom… ahhhhh... pam pam… boooom… ahhhh… ce jeu vidéo à la con… enfin… ce jeu vidéo génial… oui, depuis que ce jeu m’a permis d’accéder à la queue du bogoss lillois, je n’arrête pas de lui trouver des vertus insoupçonnées… Je te rejoins dans le séjour. « Hi… » je te lance, aveuglé à la fois par la clarté filtrée par les baies vitrées, ...