Les yeux de la voisine. (1)
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
Hétéro
... m’invitant ainsi à commencer quelques vas-et-viens tout en douceur. Je lui relève les jambes, les passes sur mes épaules et reprends mes mouvements. Elle halète de plus en plus rapidement, j’accélère la cadence. Elle plante ses ongles dans mon dos, je reprends un pas plus lent pour bien la pénétrer à fond. Elle aime ! Ça se voit à ses yeux qui s’ouvrent grand. Elle me fixe et souffle en rythme de mes coups de rein. C’est vraiment bon ! Je marque une pause histoire de me replacer un peu. (Quarante ans, tu restes pas à genoux par terre sans difficulté !) — T’as fini ? — Non, pourquoi ? T’en veux encore ? — Plein ! -me-répond-elle avec un regard espiègle.- C’est chaud, c’est serré, c’est ... C’est bon, si bon ! Elle commence à se caresser le clitoris en même temps et m’attire vers elle pour que je l’embrasse. Elle a toujours les jambes sur mes épaules. Sacrément souple la coquine ! Décidément, j’en apprends beaucoup sur ma voisine ces temps-ci... Elle s’en offre d’autant plus à moi. Je me redresse et lui maintien les jambes très haut pour la pénétrer encore plus loin. Elle se caresse avec toujours plus de force. C’est plus des caresses, elle se branle ! Elle se branle carrément et j’aime la voir faire. Je sens le plaisir monter en moi, elle aussi, elle et proche de la jouissance me semble-t-il. Elle me confirme : — Je vais jouir ! Je me lâche encore un peu ! J’accélère et tape de plus en plus fort au fond de son cul, je la ...
... baise fort ! Elle commence à crier, elle jouit, je sens le plaisir monter brutalement.... ...Et j’envoie tout ce que j’ai dans les couilles directement dans son anus ! Plusieurs coups violents viennent à bout de mes ardeurs de mâle. Elle jouit violemment et envoie une giclée m’asperger le torse. J’en reste sans voix et sourit, ravi de l’avoir accompagnée jusque là. (Encore une facette d’elle que je ne devinais pas. Elle est un peu femme fontaine. ) Elle est désolée de m’avoir aspergé. Je la rassure : — J’ai adoré au contraire ! Sois pas gênée ! Je sors d’elle délicatement et sens son petit trou se refermer autour de mon gland. Je l’embrasse encore une fois. Elle me sourit, se cache le visage. Je sens qu’elle réalise juste ce qu’on vient de faire et semble avoir peur du contre-coup. Moi aussi, du reste. Elle dit: — Qu’est-ce qu’on vient de faire ! Merde, en plus qu’est-ce que j’ai à toujours me faire prendre par le cul ces temps-ci ? Je ris. — Ton cul est très accueillant, t’aurais tort de ne pas l’utiliser. Elle se lève pour aller aux toilettes, reviens une minute plus tard et me lance tout à trac : — Non, je ne t’aime pas en fait ! ça, au moins c’est sûr ! — Encore heureux ! C’est pas parce que je t’ai sodomisée que tu dois tomber amoureuse de moi ! Elle rit. Et rien que par ces quelques phrases provocantes, je sais que tout se passera bien. Rien n’a changé entre nous sinon que nous n’avons réellement plus de tabous. Giléad.