PhiloSophie
Datte: 11/09/2018,
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Inceste / Tabou
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... garçons rient, enlèvent leurs chandails, déboutonnent leurs chemises, et se lancent de la neige à qui mieux mieux. Puis se précipitent dans l’igloo en nous disant de les rejoindre en vitesse. La tiédeur de l’air me surprend. On me jette une serviette de bain. Il y en a beaucoup, c’est Germain qui les a apportées. Sur le sol gisent quatre matelas pneumatiques, côte à côte. Je m’essuie les seins, sans ôter mon chemisier. Béatrice a enlevé le sien. Elle a un soutien-gorge mauve, elle tente de passer la serviette dessous puis, avec un haussement d’épaules, le dégrafe et le jette dans un coin. Les garçons sont déjà tous torse nu. Mon soutif pend, humide, inutile. Je fais comme Béatrice. Mes seins sont plus petits que les siens. Ils plaisent cependant à Germain, qui se jette dessus, et en suce les pointes avec voracité, après avoir écarté ma serviette. David rit, et fait de même à Béatrice. Antoine embrasse Liliane et, très délicatement, la déshabille petit à petit. Isabelle n’a plus que son slip, qui est trempé. Elle l’enlève mais se plie dans sa serviette, sans cacher ses seins dont elle semble si fière. À quoi bon s’entourer d’une serviette mouillée ? J’ai laissé faire Germain, il passe à Béatrice, Thierry le remplace. Je le laisse faire également. Après tout, ce n’est pas désagréable. Pointes de seins à l’ail. — N’accapare pas Liliane dit un garçon à mon frère. Il faut qu’elle sorte un peu de la famille. Elle le regarde avec angoisse. Mais David a déjà pris Liliane dans ses ...
... bras. Ses lèvres sur ses lèvres, puis sur ses seins… David, qui faisait cela avec moi, hier… Un temps désemparé, Antoine cherche une fille, tripote ma poitrine, constate que c’est moi, me laisse tomber, et s’intéresse à Béatrice. Mais j’ai les pieds gelés. J’enlève mes bottes, en me cognant contre les uns et les autres. David a laissé Liliane, que mon frère a aussitôt récupérée. Il me demande (David) si j’ai froid aux pieds. Évidemment, que j’ai froid aux pieds, les bottes pleines de neige fondue ! — Enlève tes chaussettes. Donne-moi tes pauvres petits pieds, que je les réchauffe. Il est assis en face de moi, il prend mes pieds et les applique contre sa poitrine. Elle n’est pas excessivement chaude, sa poitrine. Il déboutonne son pantalon, place mes pieds sur son ventre. Doux et chaud, son ventre. Il ne tarde pas à baisser son slip. Mes talons sont de part et d’autre de sa bite, dressée. Il enlève son pantalon, puis son slip. Il n’a plus que ses chaussettes. Il glisse les mains sur mes mollets.— Réchauffe-les un peu, avant, lui dis-je.— Mais c’est pour les réchauffer que je te caresse les mollets ! Les autres filles ont soudain froid aux pieds, elles aussi. Sauf Liliane, blottie dans les bras d’Antoine. Leurs lèvres sont soudées. Elle ferme les yeux, balbutie des mots d’amour. Ils seraient mieux tout seuls. Les garçons enlèvent leur pantalon pendant que les filles se débarrassent de leurs bottes ou chaussures, puis de leur collant, celles qui en avaient. Tout le monde est à peu ...