1. PhiloSophie


    Datte: 11/09/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, Inceste / Tabou copains, vacances, campagne, magasin, froid, anniversai, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, chantage, revede, préservati, Partouze / Groupe jeu, aliments, zoo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, glaçon, bougie, journal,

    ... d’exclusivité, la fidélité est affaire de petits bourgeois, etc. Et comment donc ! Je réponds qu’on verra bien. Qui vivra, verra. Qui vivra verrat. Une fois un peu éloignés du village, il s’arrête, veut m’embrasser. Je le laisse faire. Il me tripote. Je le laisse faire. Indifférente. Qu’il puisse bien voir que je ne l’aime pas, pas vraiment. Plus jamais je ne dirai le moindre mot d’amour. Je l’aimais, ça m’a passé. J’ai cru l’aimer, c’est fini. Il me demande si je n’ai plus mal. Non. Ça aussi, c’est fini. — Tu comprends, j’ai été mufle, je crois, hier (Tiens donc !) mais il ne fallait pas basculer dans un sentimentalisme sirupeux. Je t’aime bien, tu m’aimes bien, mais…— Mais comment donc, je comprends parfaitement, je partage tout à fait ton point de vue. On remettra ça quand nous y serons disposés, l’un et l’autre. Surtout moi, d’ailleurs. Alors, cet igloo ? Dans le bois, derrière la garde Bonnet, sous un pâle soleil d’automne, l’igloo. Une tente, tout simplement, mais recouverte de vingt centimètres de neige au moins, avec une toute petite ouverture dans un mur de neige devant la porte. Les autres se lançaient des boules de neige en riant très fort. — On vous attendait ! Les filles me font quatre bises sur les joues, les garçons (sauf Antoine, évidemment) me prennent dans leurs bras et me roulent une pelle. Sophie, pas de vulgarité : Les garçons prennent mes lèvres, et leur langue s’insinue entre mes dents, que je tiens plus obstinément serrées. Germain ne sent plus le ...
    ... tabac, c’est mieux ainsi. Thierry a mangé du fromage à l’ail, il aurait dû se brosser les dents après le repas. Combat de boules de neige. Garçons contre filles. Finalement, on est bien, ensemble. Mais ça dégénère, les garçons se rapprochent et tentent de nous mettre de la neige dans le cou. Isabelle rit comme une hystérique et se laisse faire. Germain et David immobilisent Béatrice, Thierry en profite pour glisser une poignée de neige dans l’échancrure de son corsage. Les manteaux et les impers avaient été jetés dans l’igloo, on avait trop chaud. Elle hurle : Que c’est froid, arrêtez !… Ils se jettent sur moi, me tiennent les bras, permettant ainsi à Thierry de soulever mon chandail, de sortir mon chemisier de la ceinture de ma jupe, et de me frotter la poitrine avec de la neige. — Tenez-la bien, que je dégrafe son soutif ! Je me débats, il insiste. Je me trouve avec ses mains glacées sur mes seins. Je lui lance quelques coups de pied, il jette de la neige dans mes bottes. Comme c’est malin, tout ça ! Ils savaient bien ce qu’ils faisaient. Ils s’attaquent ensuite à Liliane. Antoine tente de la défendre, sans y parvenir. — Laissez-la tranquille.— Elle va pas s’enrhumer, t’en fais pas ! Tu la réchaufferas bien, et nous aussi… Vient le tour d’Isabelle. Ils déboutonnent son pantalon, lui badigeonnent les fesses de neige. Elle crie : Non, pas devant, pas devant, pas sur le minou ! Nous voilà donc, nous les filles, la poitrine glacée, parfois le reste, et moi les pieds gelés. Les ...
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