1. PhiloSophie


    Datte: 11/09/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, Inceste / Tabou copains, vacances, campagne, magasin, froid, anniversai, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, chantage, revede, préservati, Partouze / Groupe jeu, aliments, zoo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, glaçon, bougie, journal,

    ... oui, ça fait du bien la mare", dit l’idiot du village que les gamins ont fouetté avec des orties, dans un bouquin de la comtesse de Ségur. Et la neige ? Mon grand-père m’avait dit : Quand tu as froid aux mains, tu les mets dans la neige, tu frottes, ça te réchauffe. J’ai toujours rêvé d’être nue dans la neige. Holà, jeune gens, attachez-moi nue à un poteau du téléphone, et bombardez-moi de boules de neige ! Venez avec les pinces à linge de vos mamans, qu’elles referment leurs mâchoires sur les pointes de mes seins, sur les lèvres de mon sexe, sur l’intérieur de mes cuisses fuselées. Et livrez-moi aux quatre vents… Antoine n’a fait aucune allusion à ce qui s’est passé hier. Il veut revoir Liliane, et sans moi, il ne peut pas. — Tu l’aimes ?— Je crois bien que je suis amoureux d’elle. Qui a dit hier qu’il fallait qu’elle sorte de la famille ? Ils sont partis avant que les autres la prennent. Car ils l’auraient fait, après avoir réduit mon frère à l’impuissance. Notre petite amoureuse violée sous nos yeux… Aurais-je contribué à la maintenir ? Je crois bien que c’est pour souffrir que je me suis refusée à David, que j’aime, pour me laisser prendre par les deux autres, devant lui. Que j’aime. C’est venu machinalement, non sous ma plume mais à mes doigts sur le clavier. Mes doigts qui sauraient dispenser plaisir ou souffrance, plaisir et souffrance… Maman m’appelle, c’est l’heure du déjeuner. Je n’ai rien promis à mon frère, mais je l’accompagnerai chez Liliane. 1er novembre ...
    ... (soir) — Liliane est très enrhumée, nous dit sa mère. Elle est dans sa chambre. Montez, vous lui tiendrez compagnie, moi je vais au cimetière. Toute dolente, Liliane, sous sa couverture jaune. Elle se relève un peu pour les bises. Elle a un pyjama rose, dont la veste baille sur ses nichons que je connais depuis longtemps et mon frère depuis la veille. Elle lui tend ses lèvres. Vais-je les laisser seuls ? Gentiment, elle repousse bientôt la tête de mon frère. — Tu n’as pas peur que je te refile mon rhume ? Je n’ai pas peur. La salive de mon frère est dans sa bouche. C’est comme si je l’embrassais, lui. — Mais oui, lui dit Liliane, j’ai aimé ta sœur avant de t’aimer, toi. Je vous aime tous les deux. Maintenant que vous êtes là, je suis guérie. Elle se lève, jette sa veste de pyjama. — Ce n’est pas prudent, Liliane, reste dans ton lit. Nous allons t’y rejoindre.— Maman est partie ?— Au cimetière. Elle y rencontrera bien quelqu’un avec qui bavarder. Il y a une clé sur la porte. Je la tourne. Mes vêtements rejoignent la veste de pyjama de Liliane. — Viens donc, Antoine ! Il se déshabille. Il bande déjà. Le lit est petit, pour trois. Antoine est dans le dos de Liliane. Elle est dans mes bras, mes lèvres butinent ses petits nichons. Les mains de mon frère se glissent sous mes lèvres. Liliane se tourne vers lui. J’avance les mains vers son minou qu’il a perforé hier. Très vite, le pantalon de son pyjama nous gène. Je l’enlève. Mon frère lui suce les seins, elle a les mains contre ses ...
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