PhiloSophie
Datte: 11/09/2018,
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... 1839-1916. Notre ancêtre commun, à David et à moi. Et encore, sait-on jamais ? Si son épouse avait la cuisse légère… Une envie de poétiser : "Moi, femme au milieu de vos tombes Vierge sage ou vierge folle…" Pour la suite, on verra plus tard. Pas tellement d’inspiration, ce matin. Ou noirâtre. C’est lorsque David et Germain me tenaient les bras, me réduisant à l’impuissance, permettant ainsi à Thierry de me badigeonner de neige la poitrine, oui c’est alors que mon émotion a été la plus forte, me préparant à tout accepter par la suite. Accepter ? Participer. Solliciter. Avec, en plus, le désir de rendre David jaloux. Illusion de gamine, il s’en foutait comme de l’an quarante, il tripotait Béatrice. Antoine vient de me quitter. Il avait frappé à ma porte, en disant que c’était lui. Le temps de basculer sur le solitaire de Windows, agrandi jusqu’à occuper tout l’écran, et je lui dis d’entrer. Il m’a vue, hier, me faire sauter par Germain et Thierry. Je l’ai vu baiser la douce Liliane, qui jurait qu’elle m’aimait à la folie, la semaine dernière encore. J’ai vu mon frère nu, le sexe en majesté contre le minou de Liliane. Puis dedans. Liliane, les jambes ouvertes. Moi, livrée de mon plein gré à Germain, puis à Thierry. Dans ma bouche, dans… Au plus profond de moi. Pourquoi me faire mal à plaisir ? Quelle expression bizarre ! Mais si juste ! Le plaisir et la souffrance sont étroitement mêlés. Quel beau sujet de dissertation ! "Nous étions nus dans un igloo de fortune. Je n’étais ...
... plus vierge depuis la veille, je me refusais au garçon que j’aimais, pour subir les assauts de deux autres, et je voulais souffrir pour parvenir à la jouissance." Jouissance rime avec souffrance. Comme l’a dit le poète chinois, plaisir et souffrance sont frère et sœur jumeaux, et qui ne se quittent pas. J’ai toujours inventé des aphorismes de poètes chinois. Les profs n’étaient pas dupes. — Mademoiselle Sophie Fontangelot, vous resterez ici après le cours. J’ai deux mots à vous dire. Une fois les autres élèves partis, il m’entraîne dans une cave, m’attache, bras et jambes écartés, sur une planche sordide, me fouette avec des orties, me baise sauvagement et m’abandonne, un foulard sur les yeux. Qui n’en veut, qui n’en veut de la petite Sophie ? Un journal intime, c’est fait pour cela : se défouler. Gratter le noirâtre, plonger dans sa part d’ombre. J’ai toujours aimé l’excitation que procure la souffrance. En troisième, seule à la maison pour une heure ou deux, espérant vaguement faire pousser mes seins, je mettais du coton enflammé dans des verres et m’appliquais ces ventouses sur la poitrine. Et je me caressais. Les cercles rouges autour de mes tétons malingres étaient longs à disparaître. Et les orties ? En short, je les frôlais, les grandes orties. - Quand tu les saisis en dessous de leurs feuilles, elles ne piquent pas, m’avait-on dit. Je ne voulais pas me piquer les mains, mais la poitrine, le ventre, l’entrecuisse. Ensuite, après le plaisir fugace, un peu d’eau. - "Pour ça ...