PhiloSophie
Datte: 11/09/2018,
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... jusqu’au sol. Mon slip est le rouge, assorti à mon soutif. Thierry retire aux filles jupe ou pantalon. J’enlève les chandails des garçons. Les nôtres disparaissent. Madeleine n’a pas de chemisier. Après une courte délibération, il est décidé qu’on ne lui retire rien alors que tombent ceux des autres filles. Je dénude le torse des garçons. Paul est le plus costaud. De belles épaules. Jacques est un peu malingre. Des salières sous le cou gracile. Il plait à Laure depuis longtemps. Je veux dire Marguerite. Les filles sont en soutien-gorge. Rose pour Camille et Madeleine, blanc pour Marguerite. Jean me délivre du mien. Les mains fébriles de Thierry se plaisent à enlever ceux des filles. C’est Madeleine qui les plus gros seins, et depuis longtemps : c’était déjà le cas dans les vestiaires de la piscine. À dessein, elle choisissait des bikinis trop petits. Moi, des plutôt trop grands, qui baillaient sur les petites pommes, phototropisme pour les yeux des garçons. Camille a enlevé le slip de Thierry. J’abaisse le boxer de Jacques, les slips des deux autres. Le jeu les a mis en bonne forme. À la piscine, d’un geste viril de la main droite, en coquille sur le slip de bain, ils relevaient tout leur attirail pour faire accroire que la masse en devenait gênante. Gamins ! Paul fait descendre ma petite culotte humide, les yeux sur mon mignon triangle. Le slip blanc de Camille disparaît. Je ne le connaissais pas, celui-là. Un vieux, sans doute. Mon frère étant parti, elle ne se met plus ...
... en frais. Ensuite, Thierry enlève les slips des deux autres filles. Dans cette arrière-boutique que chauffent en sifflant les radiateurs à gaz, nous sommes tous totalement nus, maintenant. Les garçons sont un peu gênés mais ça leur passera. Parfois, ils appliqueront leur calibre contre leur ventre, pour éviter de heurter quoi que ce soit. Je suis la maîtresse du jeu. Je veux devenir l’esclave temporaire de la tribu, avec Thierry, à charge de revanche aussitôt après. Nous nous couchons sur les paillassons. Les garçons prennent dans le panier les quatre laisses, les accrochent aux colliers de mes poignets et de mes chevilles et, à l’autre bout, à ce qu’ils trouvent : pieds de meubles, bouteilles de butane, bidons… Les laisses trop courtes sont complétées par des cordes, qui ne manquent pas dans cette boutique. Les filles immobilisent Thierry de la même manière. Nous sommes écartelés. — Les instruments de notre géhenne sont dans les paniers. Vous en usez librement, les garçons sur moi, les filles sur Thierry. Mais si je déclame le superbe alexandrin suivant : Les malheurs de Sophie ne vont pas jusque là, tout doit immédiatement s’arrêter. Thierry, quant à lui, devra dire : Les malheurs de Thierry ne vont pas jusque là, ce qui reste un alexandrin de bonne facture. Le plumeau me chatouille les aisselles, l’intérieur des cuisses. Les lanières du martinet glissent doucement sur mes seins, dont les pointes sont gonflées à souhait. Les couilles de Thierry tâtent d’une brosse à dents, ...