1. PhiloSophie


    Datte: 11/09/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, Inceste / Tabou copains, vacances, campagne, magasin, froid, anniversai, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, chantage, revede, préservati, Partouze / Groupe jeu, aliments, zoo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, glaçon, bougie, journal,

    ... puis des deux autres, sous les rires des filles. Les garçons irritent mes tétons avec leurs brosses à dents. Frottent mon ventre avec celle à chiendent. Une brosse à dent s’aventure sur les lèvres de mon délicieux minou. Le pouce et l’index de leur main gauche contre ma peau, sur les seins, le ventre, les cuisses, ils tendent les petits élastiques de la main droite, et les lâchent soudain. Le fluide glacial sur mes seins ! Aussitôt après, les mâchoires d’une pince à linge se referment sur les pointes. — Là, ça fait vraiment mal. Pas tout à fait sur le bout, s’il vous plait ! Je n’ai pas prononcé l’alexandrin, mais ils ont la gentillesse de déplacer un peu les pinces. Ils n’oublient pas que ce sera leur tour, plus tard, d’être couchés sur les paillassons. Ils mettent les autres pinces en couronne autour de chacun de mes nichons. Dommage qu’elles soient aplaties par ma position couchée, mes petites pommes ! D’autres pinces sur l’intérieur des cuisses sont plus douloureuses. Trois coups de martinet les envoient valser. Jean est allé chercher une canne à pêche, il veut faire sauter toutes les pinces par de petits coups bien ajustés. — Ce qui serait sympa, les amis, ce serait d’essayer un peu sur vous ce que vous nous faites, dès maintenant. Pour vous rendre compte. Garçons et filles trouvent bonne la suggestion. Des pinces fleurissent sur les poitrines. Madeleine grimace mais résiste. Les yeux de Camille sont pleins de larmes. Elle quitte un moment Thierry, bouscule les autres ...
    ... garçons et vient me souffler qu’elle veut avoir mal comme j’ai mal. — Choisis-moi, après. Pour toi, mon pauvre amour. Et pour lui. Une pince se referme sur chaque lèvre de mon minou, et j’ai bien envie de prononcer l’alexandrin. Par bonheur, un garçon en met une sur une couille, et deux filles sur leur minou, et les enlèvent aussitôt sous la douleur. Jacques ôte les miennes. J’ai serré les dents. Jean ne s’est servi que deux ou trois fois de sa canne à pèche. Ils n’osent pas non plus faire sauter à l’aide du martinet les pinces qui ornent le pourtour de mes seins. Le plus méchant des garçons les enlève sans les ouvrir, en tirant. Je ne sais qui, car ils viennent de jeter le torchon sur mes yeux. Ce ne peut être que Jean. M’avoir aveuglée leur permet de me déconcerter en faisant couler sur mes seins le reste du fluide glacial, bientôt suivi par la cire chaude des bougies. Mais je n’en suis pas surprise, j’avais entendu le craquement des allumettes. Ils retirent le torchon pour que je puisse bien voir les arabesques rouges qu’ils dessinent sur mes seins, mon ventre, mes cuisses. Sur Thierry, c’est également assez joli. Ils permutent, les filles ajoutent du bleu sur mes seins et mes cuisses, les garçons du rouge sur le torse, les jambes et les couilles de Thierry. Puis ils reviennent vers moi, visent la pointe des seins, qu’ils veulent entourer d’une carapace écarlate. Certaines femmes se maquillent le bout des seins, je ne l’ai jamais fait. Pas encore. — Les malheurs de Thierry ...