1. PhiloSophie


    Datte: 11/09/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, Inceste / Tabou copains, vacances, campagne, magasin, froid, anniversai, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, chantage, revede, préservati, Partouze / Groupe jeu, aliments, zoo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, glaçon, bougie, journal,

    ... tu te promèneras, maintenant. J’ai ajouté : Si tu veux bien de moi. Je me suis ainsi livrée à lui. Il m’a regardée avec des yeux neufs. — Mais c’est pourtant vrai que tu as grandi, et mûri ! Tu es une belle plante, sais-tu ? (Il avait pris un horrible accent belge de caricature, les vrais Belges ne parlent pas comme cela, il se foutait de moi, l’abruti). Voilà des années qu’il ne me regardait pas vraiment, j’ai fini de grandir depuis longtemps. J’étais furieuse. Je lui ai tiré la langue et je suis partie. Avec l’envie folle de revenir, ou qu’il me rattrape, mais non. Par bonheur, une heure plus tard, je l’ai revu chez sa grand-mère, à qui j’apportais le journal, bon prétexte. Une vieille voisine a dit qu’il allait encore neiger. David m’a fait signe, nous sommes sortis. Il avait pris son manteau de cuir. Un héros de "Il était une fois dans l’ouest", David ! Mon David ! Moi, j’étais légèrement vêtue. Par coquetterie, naturellement : une jupe longue, un chandail qui me moulait convenablement la poitrine. Un collant, car ma mère a toujours refusé que je mette des bas avec des jarretelles. Je sais que les hommes préfèrent cela, Antoine me l’a dit, en me montrant des photos téléchargées sur l’Internet. Si David le veut, il me photographiera sous toutes les coutures, avec les appareils numériques on ne craint plus les réactions des photographes. Dehors, il a vu que j’avais froid. Il a pris ma main et l’a mise dans la poche de son manteau de cuir, avec la sienne. Nous sommes allés ...
    ... à la garde Bonnet, vers les carrières de pouzzolane. La neige recommençait à tomber, des flocons de plus en plus gros. Il m’a entraînée dans une des grottes des carrières. Il avait enlevé son manteau pour le mettre sur mes épaules. Il touchait presque le sol. Gelsomina. Fellini, avec des tas de signes dans le ciel. C’est avec lui que j’aurais dû voir le film, pas au ciné-club avec Thierry. Nous étions debout, l’un en face de l’autre. Je lui ai dit que c’est lui qui allait avoir froid. J’ai ouvert le manteau. David est venu tout contre moi. Le manteau est tombé. Nous avons ri, nous étions bien. Nous nous sommes assis sur le manteau. Il a passé un bras autour de mes épaules, j’ai appuyé ma tête contre la sienne. Il a descendu sa main, lentement, sur ma poitrine. Je voulais qu’il se dépêche de la glisser sous mon chandail, et même sous le soutien-gorge, mais il ne se pressait pas. Il pressait mon petit nichon, dont le bout était tout gonflé. Et mon bas-ventre, ah, mon bas-ventre était en feu. Je pensais : cette saloperie de membrane à la con, qu’il me la déchire, qu’il me pénètre, qu’il me transperce, qu’enfin il me dépucelle, et vite. J’avais follement envie de lui. De son membre en moi. De sa bite, comme disent les garçons. Et pourquoi pas en avoir la bouche pleine, s’il le voulait, avant ? Au lieu de soulever mon chandail, il a passé sa main par l’échancrure, et m’a caressé le sein gauche par dessous le soutien-gorge. — Attends, ai-je dit, et j’ai enlevé mon chandail. Il a ...
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