1. PhiloSophie


    Datte: 11/09/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, Inceste / Tabou copains, vacances, campagne, magasin, froid, anniversai, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, chantage, revede, préservati, Partouze / Groupe jeu, aliments, zoo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, glaçon, bougie, journal,

    ... écarté mon chemisier, dégrafé l’attache de mon soutif et placé ses mains en coquilles sur mes seins. Mon dos était appuyé contre sa poitrine, il respirait "la douce et bonne odeur de mes cheveux", comme il a dit. Sa main droite a abandonné un sein pour tenter se faufiler sous ma jupe. Le passage était trop étroit. J’ai déboutonné la jupe, il a glissé sa main sous le collant, et sous le slip. Un doigt est venu sur mon clitoris. Mon petit bouton d’amour, comme dit Liliane. — Sophie, Sophie ! Et aussitôt, la voilà dans la grotte, Liliane. - Oh pardon ! dit-elle, les yeux ronds. Puis, très vite, elle a dit qu’elle avait vu des traces de pas dans la neige, qu’elle avait bien pensé bien que c’était moi mais qu’elle croyait que je me promenais avec Antoine. David n’était absolument pas gêné par la situation. — Liliane ! Tu as bien grandi, toi aussi. Tu es très jolie, toi aussi. Il lui aurait bien demandé de s’asseoir, et nous aurait bien tripotées toutes les deux ! Je me suis dégagée, j’ai remis mon soutif, mon chandail. Liliane, je l’aurais tuée. Sur le chemin du retour, David a remis ma main dans la poche de son manteau. La sienne était sur mon épaule. Il en faisait tomber, parfois, la neige qui s’accumulait. Il l’époussetait en me souriant. Liliane était sombre, et ne disait mot. Impossible de se débarrasser d’elle. Si ! L’idée m’est venue. Antoine ! Qu’il vienne avec nous, l’après-midi, qu’il s’occupe d’elle. À plusieurs reprises, il m’avait dit qu’elle devenait bien jolie, ...
    ... ma copine. Alors, après le déjeuner, je lui dis que nous allons nous promener, Liliane et moi, et qu’il y aura David. Que David est à moi, que je suis à lui, mais que Liliane n’attend que lui, Antoine. Étonné, on le serait à moins, il me répond qu’il neige beaucoup trop. Je rétorque que nous allons prendre les ponchos, tout simplement. Et même ceux des parents, en plus, pour abriter David et Liliane. Nous allons chez elle. - Elle est dans sa chambre, me dit sa mère. Je l’appelle. Elle descend, les yeux rouges, ou du moins il me semble. Un petit air humble et triste. Fille soumise ! — Viens avec nous, lui dis-je. Sa mère dit que nous sommes fous, qu’il neige bien trop. — Nous avons des ponchos. Antoine en tend un à Liliane. Elle le prend. — Va mettre un pantalon chaud, au moins, lui dit sa mère, un gros pull, et ta veste de laine. Et tes grosses chaussures. Elle y court, elle revient, radieuse. Nous sommes chez la grand-mère de David quelques instants plus tard. Il reprend son manteau de cuir. Je lui donne le poncho de mon père, il l’enfile par dessus son manteau. Direction la garde Bonnet. Nos traces du matin sont effacées. David a de vieilles bottes. Moi aussi, j’ai des bottes, mais presque neuves. En cuir fauve. Toujours ma jupe longue. J’ai remplacé mon collant par des chaussettes, sous prétexte que je risquais d’avoir froid au pied. Prends les deux, a dit maman, impérative. J’ai enlevé le collant plus tard, dans les WC. À peine sortis du village, David prend ma main, la ...
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