1. PhiloSophie


    Datte: 11/09/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, Inceste / Tabou copains, vacances, campagne, magasin, froid, anniversai, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, chantage, revede, préservati, Partouze / Groupe jeu, aliments, zoo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, glaçon, bougie, journal,

    ... faufile avec la sienne par l’ouverture du poncho jusqu’à la poche de mon manteau. La poche a été décousue ! Enlevée, il n’y a plus de poche ! Et celle du pantalon a disparu, elle aussi ! J’ai tout de suite la main contre sa cuisse. Je le regarde, il me sourit. J’avance la main. Rien de plus facile que de la glisser sous le slip. Mais ne va-t-il pas penser que j’ai l’habitude ? La bite rude, comme dit cet âne de Thierry. Tant pis s’il le pense, après tout, ça le rassurera, le rendra plus entreprenant, moins craintif. Les hommes redoutent les vierges, j’ai lu cela quelque part. Il semble bien apprécier. Ses deux couilles sont douces. Les poils ne gênent pas du tout mon exploration. Et cette colonne de chair ! "Douce colonne", a écrit Paul Valéry. Peut-être en parlant d’autre chose, peut-être pas. Par le mouvement de la marche, ma main coulisse légèrement. Il me serre contre lui en me tenant par l’épaule. Il s’arrête, les deux mains autour de ma taille. Sa bouche vient à la rencontre de la mienne. Notre premier baiser ! Tout de suite, sa langue envahit ma bouche. Que c’est bon ! Et ses deux mains qui rentrent sous mon poncho, une qui me pétrit les seins, l’autre qui soulève ma jupe, se glisse dessous, puis sous le slip. Interminable baiser. Ah ! Si le temps pouvait s’arrêter ! Lamartine a dit cela avant moi. Antoine et Liliane s’embrassent, eux aussi, mais plus sagement que nous : il a ses mains au dehors, sur le poncho, et elle aussi. Nous sommes devenus en quelques instants, ...
    ... à nous quatre, deux statues de neige. David retire ses mains. Je sais que ce n’est que provisoire. Nous nous secouons en riant comme des fous, nous courrons vers la grotte. Et là, surprise ! Des traces de pas, venant du chemin du haut, et se dirigeant vers notre grotte ! On nous a entendu rire. Thierry s’avance, tout débraillé. — Tiens, les gouines ont viré leur cuti ! hurle-t-il. Et il ajoute : Venez vous joindre à nous. Dans la grotte, il y a Béatrice, allongée sur une couverture, la poitrine nue, et un garçon et une fille que je ne connais pas, couchés à côté d’elle, à moitié nus eux aussi. La fille, dont le pantalon est baissé, a une main dans la braguette du garçon. J’avais bien tenté de faire marche arrière, mais David m’entraînait. La barbe, la barbe, la barbe !!! Thierry proclame que dans ces conditions, il veut ses bises, enfin ! Je refuse. David rit et me pousse vers Thierry : Mais fais-lui donc la bise, puisqu’il y tient tant ! Et lui se jette sur Béatrice, la prend dans ses bras, lui roule une pelle, comme on dit vulgairement. Elle affirme qu’elle est très contente de le revoir. Je comprendrai par la suite qu’ils se connaissent depuis des années, qu’ils ont fricoté ensemble, et qu’ils sont naturellement disposés à recommencer. La présence de Thierry ne les trouble pas le moins du monde. Ils se pelotent, il lui pétrit les fesses, elle avance une main sous son manteau, vers… Je ne vais pas me mettre à pleurer comme une gourde. Ni me jeter dans les bras de Liliane. ...
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