PhiloSophie
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
jeunes,
Inceste / Tabou
copains,
vacances,
campagne,
magasin,
froid,
anniversai,
amour,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
chantage,
revede,
préservati,
Partouze / Groupe
jeu,
aliments,
zoo,
sm,
attache,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
glaçon,
bougie,
journal,
... j’avais peur que sa grand-mère vienne nous déranger. Il m’a dit qu’il n’y avait rien à craindre : avec ses rhumatismes, elle ne monte plus les escaliers. Une fois de plus, il se foutait de moi. — Tu peux être absolument sûre : elle ne montera pas. Il a quand même fermé sa porte en poussant une targette. Il m’a longuement embrasée. Lapsus ! Embrassée. Embrasée aussi, of course. Ses mains farfouillaient sous mon chandail. Il a dégrafé mon soutif. J’ai enlevé le tout. Ses lèvres sur mes seins, c’était incroyablement agréable. Il me mordillait légèrement, aspirait les pointes, les faisaient rouler sous sa langue. Puis les abandonnait, pour reprendre ma bouche. — Tu ne trouve pas qu’ils sont trop petits ?— Ils sont adorables. Les seins des très jeunes filles sont incroyablement durs. Tiens, c’est pour cela que j’ai employé l’adverbe, quelques lignes plus haut. J’ai pensé : Il a dû en connaître une flopée, des seins de très jeunes filles. Je n’ai rien osé lui dire. Il a enlevé son pull, sa chemise. Il s’est collé contre moi, poitrine nue contre poitrine nue, lèvres contre lèvres. Impérieuse, sa langue ! Il s’est mis à genoux, il a déboutonné ma longue jupe, qui est tombée à mes pieds. Je l’ai enjambée. Mes bottes ! Il fallait que je les enlève. Mes seins sont mis en valeur quand je me penche. Mais il m’a poussée sur son lit. Il a enlevé mes bottes et les a jetées dans un coin. Puis mes chaussettes. J’étais en slip. Il s’est couché sur moi. Longs baisers. En silence. — David, tu ...
... m’aimes ? lui ai-je demandé. Il m’a fallu répéter la question, il ne m’écoutait pas. Il a répondu, distraitement : Oui, bien sûr. Sans conviction particulière. Mais un peu plus tard il a mis ses lèvres sur mes paupières, en murmurant qu’il avait infiniment de tendresse pour moi. Il s’est consacré à mes seins, de nouveau. Et une main se glissait vers mon slip. Il a fini par l’enlever. Debout, il a achevé de se déshabiller. Ce que j’avais caressé une heure avant, je l’avais sous les yeux. Comment cela va-t-il pouvoir entrer en moi, me demandai-je. J’étais certes assez mouillée pour que ça coulisse, mais la taille ! Ses lèvres se sont emparées de mon minou. Sa langue. Je fondais. — David, je t’aime, je t’aime… Liliane était bien oubliée. La force d’un homme, c’est autre chose. J’étais sa chose. Femme objet. Qu’il fasse de moi ce qu’il veut ! C’est d’ailleurs ce qu’il était en train de faire. Maladroitement, mes mains tentaient de le caresser. Il a bougé. Nous étions désormais tête-bêche. Le soixante-neuf de mes lectures interdites. Sa bite cognait contre mes lèvres. "Ouvrez-moi cette porte ou je frappe en pleurant", comme a écrit Guillaume Apollinaire. J’ai ouvert. Mais il s’est retiré très vite en me disant qu’il ne voulait jouir qu’en me faisant jouir. — Oui, oui, oui, viens, oh ! Viens, mon amour ! Le voilà qui se lève, pour prendre un préservatif. Quel besoin avait-il de cela ? — Oh ! Viens, viens ! Tu n’as besoin de rien. Il répond que je suis bien trop jeune pour être ...