Valérie : l'insoupçonnée (1)
Datte: 31/07/2017,
Catégories:
Hétéro
... trouvée très élégante, elle portait un tailleur-jupe noir, des bottes et un manteau marron. Tout s’était passé de manière très formelle, nous avions beaucoup parlé de son emploi puisqu’elle y rencontrait des difficultés. Je lui avais raconté ce qui se passait dans la boite, son ex-entreprise. J’étais ravi de la revoir et le plaisir était visiblement partagé. udlubbgq Nous n’avions cependant pas été très à l’aise. Après tout, nous ne nous étions jamais retrouvés uniquement à deux, de cette manière. A vrai dire, la rencontre avait été sympa, mais superficielle, à la limite de la caricature. Je ne parvenais pas à savoir si Valérie avait d’autres intentions. Certes sa tenue était élégante et bien choisie, mais elle avait peut-être un rendez-vous professionnel ce jour-là. Dans son comportement, ses gestes, elle n’a rien laissé paraitre. Aussi, je n’ai pas osé tenter le diable. L’essentiel était de la voir et de reprendre contact. A la suite de ce premier déjeuner, Valérie et moi nous écrivions tous les dix ou quinze jours pour prendre des nouvelles. Fin janvier, un évènement allait me troubler. Un mercredi matin, elle m’écrit qu’elle a rapidement besoin d’anciens documents liés à ses heures de travail. Comme j’ai du temps en fin de journée, je lui propose de les lui déposer en main propre sur son lieu de travail. Elle accepte. La Valérie que je rencontre est assez décevante : elle est mal coiffée, pas maquillée, cernée, elle porte une jupe en jeans quelconque sur un leggings et ...
... des bottes un peu larges. Je lui remets les documents, nous discutons un moment et convenons de manger ensemble dix jours plus tard, début février. Et là, une métamorphose : élégante robe grise avec un petit blazer assorti, bottes parfaites, coiffée avec soin, bien maquillée (fond de teint, yeux, bouche), ce n’est pas la même femme. En observant subrepticement ses cuisses, je suis même persuadé qu’elle porte des bas autofixants. J’en suis si troublé que j’en oublie de la complimenter. Le repas au restaurant passe très vite, bien plus vite que le premier. Nous discutons sans nous soucier de l’heure qui tourne et nous pourrions y rester l’après-midi. Même si nos discussions tournent essentiellement autour du travail, être face à elle me permet de me noyer dans ses yeux… En sortant, nous faisons le même constat : trop bruyant. Et Valérie a eu trop chaud. Alors que de mon côté, un courant d’air m’a bloqué la nuque pour les deux jours suivants… Là, le message est pour le moins clair : pas de témoins. Dans la voiture, devant son job, on évoque la fin du mois, soit à peine trois semaines, pour un prochain rendez-vous. Nous échangeons quelques e-mails et constatons que nous devrons repousser quelque peu notre prochain déjeuner puisque nous serons en vacances l’un après l’autre. Mars. Je regarde la météo, il faut qu’il fasse beau et avec une température clémente pour la saison. Le meilleur jour de la semaine est le vendredi : ensoleillé, 12°C. J’envoie la proposition, elle accepte.