1. Plongée en eaux profondes


    Datte: 31/07/2017, Catégories: f, fh, bizarre, Oral mélo, fantastiqu, fantastiq,

    ... propageant rapidement à sa chatte. Cette sensation la réveilla, lui donnant envie de prendre l’initiative. Sans cesser de lui manger la bouche, Manon lança ses doigts à l’assaut de sa ceinture, dont elle défit prestement la boucle avant de s’attaquer aux boutons du jean. Une fois la braguette accessible, elle glissa sa dextre dans l’ouverture, flattant le membre comprimé sous l’étoffe du slip. Tout en massant le gland qui pointait déjà hors de l’abri, elle frottait avec ardeur la colonne bien dure et tant convoitée de son sexe. Puis, le dégageant de sa prison de tissu, elle entoura avec ses doigts ce membre plus qu’imposant, ce qui la fit mouiller de plus belle. Faisant coulisser sa main, elle le décalotta avec révérence avant de le branler d’un mouvement ferme et ample. Avide de voir sa queue de plus près, et même, pourquoi pas, de la goûter, elle interrompit leur étreinte pour s’agenouiller devant Marc. Faisant glisser d’un même geste pantalon et sous-vêtement à ses chevilles, elle vit enfin apparaître le pénis qui l’avait tant fait fantasmer durant ses longues nuits d’hôpital. Une queue magnifique, séparant de toute sa splendide rigidité les pans d’une chemise de coton blanc. Débarrassée des étoffes superflues, Manon reprit sans aucune gêne sa lente masturbation, le branlant avec ampleur, malaxant de son autre main ses bourses bien pleines, tirant sur le frein pour faire saillir la masse compacte du gland. Arrondissant les lèvres, elle lécha doucement l’extrémité luisante, ...
    ... énorme et écarlate du sexe prisonnier de ses doigts, au bout duquel sourdait une goutte de liquide séminal. Le prendre de quelques centimètres, à peine plus loin que l’arrondi du casque, juste assez pour goûter sa saveur fauve et salée, faisant éprouver à Marc le moelleux de sa bouche sans la lui offrir ; une véritable torture, autant pour lui que pour elle. Un brin masochiste, elle aimait ce plaisir acide du manque, de l’anticipation. Elle l’embrassa et le suçota ainsi de longs instants, avant de lever les yeux sur son visage. Marc la regardait avec un sourire tendu ; son souffle s’était accéléré, et il paraissait un brin fébrile. Le moment préféré de Manon : quand elle tenait le garçon entre ses mains et que les rôles s’inversaient, lui donnant à son tour tout pouvoir sur la relation. Il était temps de récompenser sa résistance. Creusant les joues, elle le glissa dans le lit de sa bouche, s’arrêtant seulement quand il cogna au fond de son palais. Manon s’étonnait de pouvoir l’enfoncer autant en elle, les rares occasions où elle avait tenté une gorge profonde s’étant soldées par une violente envie de vomir. Rien de cela avec Marc, comme si son gland anesthésiait le fond de sa bouche. Le degré d’excitation de Manon n’était certainement pas étranger à cette bizarrerie plutôt plaisante… Profitant à fond de ses bonnes dispositions, elle le faisait aller et venir entre ses lèvres tout en lui pétrissant les fesses, le prenant à chaque fois un peu plus loin. Cette fellation goulue ...