1. VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (2)


    Datte: 13/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... demandé son nom. • Je n’en sais rien, ils sont très secrets. Je me lève et nous entrons manger, nous nous couchons et restons sages. Pierre parce qu’il est épuisé par sa journée, moi par le plaisir que mon amant m’a procuré. Toute la nuit je ne trouve pas le sommeil, au matin, j’arrive à plonger dans un sommeil profond. Je me lève et entièrement nue, je téléphone à Alice mon amie pour lui dire qu’une grande lassitude m’empêche de les rejoindre, je m’étais juré de ne pas appeler et d’oublier l’épisode de la piscine. Dehors, il pleut. Je rêve sur le canapé, toujours nue, nudité que je n’ai jamais pratiquée sauf à la piscine comme hier. Trois heures, comme un zombi, je me vois enfiler un imperméable sur ma nudité. Le cerveau embrumé, je me vois sortir pour me rendre vers notre piscine ou je suis certaine qu’à cause du temps, il n’est pas venu. Il est là à l’abri sous le haut vent du chalet. Lui aussi a mis un imper, il me prend dans ses bras et cherche ma bouche qu’il trouve facilement, comme une midinette, je fonds à son baiser, il écarte mon imper et me félicite d’être venue nue. • Regarde, j’ai eu la même idée. Il me prend la main et la plonge sous son imper, je saisis sa verge nue tendue au maximum, je m’agenouille et je le fais entrer dans ma gorge, je lui malaxe les couilles et finis par les faire entrer dans ma bouche. • Relève-toi, vient-on va chez moi, il n’y a personne ! La pluie nous empêche d’être heureux comme hier. Comme hier lorsque je suis avec lui, je suis ...
    ... état second, c’est dans ses bras que je traverse notre petite forêt et que je franchis le portillon, j’arrive à l’entrée ou je pénètre attendant impatiemment qu’il s’occupe de mon corps. La pièce dans laquelle on entre est meublée, d’un grand lit rond central, d’une chaise et d’une table dans un coin avec comme seul ornement un bouquet dans un vase en son milieu. Sur l’un des murs, un placard assez plat est pendu. J’enlève mon imper qui est mouillé, je le pose sur la table. Mon amant vient vers moi et enlève le sien. Je prends le temps de sentir un des roses, j’ai toujours adoré ces fleurs. • Puis-je te demander quelque chose ? Je ne connais même pas ton nom alors que tu m’as donné des plaisirs intenses. • Appelle-moi Maître Hugo ! • Pourquoi Maître ? • Pour cela ! Alors que je ne m’y attends pas, il me saisit un sein qu’il sert fortement, un cri de douleur sort de ma bouche, il recommence la même opération sur l’autre sein. Alors que j’allais crier à nouveau, je me mords la lèvre afin qu’aucun son ne sorte. • Je vois que tu commences à comprendre ! Je ne réponds pas et je me ramasse une gifle. • Pourquoi me frappes-tu ? Un aller et retour me fait monter les larmes aux yeux. • Oui, Maître Hugo, j’ai compris. Hugo s’approche de moi, me prend dans ses bras et me cajole comme une enfant. • C’est bien, à partir de maintenant tu n’appartiens qu’à moi et tu feras tout ce que je déciderais ce qui est bien et, ce qui est mal. • Mon mari ? • Lorsque tu te donneras à lui tu le feras sans ...