1. VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (2)


    Datte: 13/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... aucune fioriture, tu te contenteras simplement de le recevoir en toi dans la position du missionnaire. Pas difficile, je le fais déjà. • D’accord mon amour ! J’en prends une en plein visage. • D’accord qui ? • Excusez-moi, d’accord Maître. Il m’entraîne sur le lit et me prend dans ses bras, je retrouve sa bouche qui fouille la mienne avec beaucoup d’envie, sous la douceur de sa langue, je pense que s’il me corrige c’est que je le mérite. Si je veux gagner l’amour de ce bel homme, je n’ai pas le droit de le décevoir. Il peut tout me demander, je suis prête à tout lui donner. • Tu veux que je te prenne. • Oui, Hugo ! Mince, j’ai oublié de l’appeler Maître, je m’attends à ramasser une raclée, mais rien ne vient. Il y aurait-il deux périodes dans l’amour qu’Hugo me porte, celle du dressage que j’adore même si mon éducation m’incite encore à la rejeter et celle de la douceur ou il me procure les plaisirs que j’ai appréciés hier. • Pour commencer, suce-moi ! Moi qui ai toujours refusé cette pratique, je saute sur l’occasion qui met donner à retrouver le goût de cette verge dans ma bouche. Qu’elle est belle, quelle est bonne, quelle me comble, ...
    ... que je l’aime. • Accélère. Là c’est un ordre qui a claqué. Pour voir si mon raisonnement est le bon, je prends mon temps pour le sucer. • Aie. Mes fesses viennent d’être fouettées et le mal que cela m’a fait m’a obligé à pousser ce cri. • Aie. Un autre coup zèbre mon autre fesse, je me laisse tomber sur le côté et j’atterris auprès de mon homme les jambes écartées ma chatte ouverte. Ce n’est pas mon mâle qui m’a fouetté, mais sa compagne la bimbo aux gros seins que je n’avais pas entendu entrer tellement obsédé par la queue de mon amant. Elle ne porte sur elle qu’une guêpière en cuir de grandes bottes et des gants qui lui montent au-dessus des coudes. Dans ses mains une cravache formée à son bout par une petite spatule. La cravache se lève et avant que je n’aie le temps de me protégé, la spatule bien à plat s’abat sur mes grandes lèvres touchant légèrement les muqueuses. La douleur ressentie est nettement plus forte que ce que j’ai pu ressentir dans ma vie. Hugo me met la main sur ma douleur, je me tourne vers lui et nous nous embrassons une fois de plus fougueusement. Lorsqu’il laisse ma bouche, je le regarde avec les yeux pleins d’amour… 
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