1. Isabelle, grosse et petite mais belle (8)


    Datte: 14/09/2018, Catégories: Trash,

    Sous les parasols, Lili semble s’être endormie. Isa est en plein cagnard et lit le livre oublié par Eva. Elle est enduite de « graisse à traire », ce qui lui renforce son teint halé. Ma femme est enduite de crème solaire le la tête aux pieds. Je devine qui l’a enduite. — Coucou, fait Eva, voilà le ravitaillement. Les deux filles nous regardent avec envies. Elles ont faim. Le repas se passe bien. Nos deux « vieux » s’éclipsent pour une sieste. Ma femme les accompagne, espérant trouver un peu de fraîcheur. Isa me propose de me passer de sa « graisse à traire », jugeant que je suis assez bronzé pour en mettre. Je vais pour m’allonger mais elle me dit que cela ira mieux debout. Elle commence par mes épaules, mon dos, les fesses et les jambes. Elle passe devant moi et recommence, cette fois si, par le visage, le torse, le ventre, les cuisses. Elle en reprend une grosse noix et m’en enduit le sexe. — Voilà. On peut allez à l’eau. Le contact de l’eau est des plus bizarre. C’est comme si j’avais une seconde peau. J’essaie d’attraper Isa, elle me glisse des mains. Elle part plus loin en rigolant. Mais la tentation est plus forte, elle vient en se pendant à mon cou. Elle m’embrasse goulûment et passe ses jambes musclées dans mon dos. On plonge plusieurs fois. On se bécote comme deux amoureux. Ne serais-je pas, effectivement, en train de tomber amoureux ? Mais je m’en fou. Je profite de l’instant présent. On sort de l’eau en se croisant les doigts. On s’allonge face à face. J’approche ...
    ... mon visage et le frotte contre le sien. Je suis bien. Je m’endors.On est réveillé par Jean qui vient nous chercher. Il nous dit que le plage va changer de populace. Si on veut manger tranquille, il vaut mieux partir au bungalow. On remballe tout et nous suivons Isa. — Quel cul elle à... me dit Jean. On dirait une Maman de Dakar. -Oui mais tellement plus accueillant. — J’n’y ai pas encore goutté...HAHAHA. On arrive au bungalow. Ma femme et Éva mettent la table. Le barbecue est allumé. Le pastis trône sur la table. Je demande s’il est possible de faire l’apéro au rosé. Jean se lève et va nous chercher une bouteille de Bandol. On mange, on boit, moi pas trop. Il est 20h00 quand nous sortons de table. Après un bref passage aux blocs sanitaires, pour prendre une bonne douche salvatrice, nous retournons au bungalow. Jean et Éva nous disent qu’ils nous rejoindront plus tard. Nous partons donc, serviettes sur l’épaule, vers la plage. Le feu de camp et déjà allumé. Nous nous installons. Lili scrute avec appréhension les couples, les hommes, les femmes présents. Ils sont tous nus. - Vas-y, tu en meurs d’envie... Allez, fait ta salope. Lui dit Isa. Si tu veux, on t’accompagne. Lili lui sourit. On se dirige vers le feu de camp en se tenant par la main, Lili étant au centre. J’aperçois la petite Léa, Virginie et Marc. Je tire Lili pour les présenter. Elle est morte de honte quand Marc se lève et l’embrasse. Virginie et Léa me tirent un peu à l’écart. — Mais c’est qui cette coincée du cul ? ...
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