Isabelle, grosse et petite mais belle (8)
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
Trash,
... s’agrippe à mes épaules et jouit. — AHHH, HERVE, qu’est-ce que tu me fais. TROP BON.... OUIIII. Je me délecte, je la bois, Je lape son jus. Elle est toujours assise, la tête sur mon épaule. Elle respire fort et vite. Elle me dit que c’est la première fois qu’on lui fait ça. Je me relève et la prends dans mes bras. Je la dépose sur le rebord de son petit lit. Je lui remonte les jambes que je pose suer mes épaules. Ma bite et à la bonne hauteur et c’est lentement que je m’enfonce dans son con. Elle se mort les lèvres. Souffle, gémit. J’accélère mon mouvement. Je la pilonne avec force. Je la retourne, la mets en position de levrette. Ma bite trouve toute seule sa grotte d’amour. J’y vais gaillardement. Le bruit que fait mon ventre à chaque fois qu’il claque contre ses fesses est terrible. Elle hurle sa jouissance. — OUI, ARGH, OUIIII, C’EST TROP BON.... HERVE C’EST TROP BON... Je lui fesse son petit cul qui commence à rougir. Je ne tiens plus. Je décharge. De puissants jets viennes inondés sont petit vagin. Je m’affale sur elle, toujours emboîté. Elle essaie de reprendre sa respiration. Moi de même. Elle tourne la tête et m’embrasse, ce que je prends pour un remerciement. Elle se lève et m’entraîne dans la cuisine. On se sert à boire. Elle se plaque contre moi, me prend la queue dans la main. — J’ai encore envie d’elle. Je veux te boire. — Je ne suis pas intarissable ma petite. Déçu, elle fait sa boudeuse. Je la prends dans mes bras et lui gobe, l’un après l’autre, ses deux ...
... petits œufs sur le plat. Elle gémit, me prend la queue dans la main. — AHHH, PUTAIN, T’EN VEUX ENCORE ??? ALLER, A QUATRE PATTES LA, ICI. Je tape sur la table en bois de la cuisine. Elle y monte lentement, je lui administre une fessée qui la fait perdre son équilibre. Elle se retrouve à plat ventre. Elle se relève et se met dans la position attendue. Je monte à mon tour et tel un cavalier qui monte sa pouliche, je la chevauche à grand coup de reins. Elle s’affaisse, je lui mets une claque sur son flanc. — DEBOUT, SALOPE... TU VEUX DE LA BITE, TU VAS EN AVOIR... Je claque ses flancs, ses fesses. Pour éviter qu’elle ne tombe, je la tiens par la tignasse. On peut voir le reflet de notre folle cavalcade dans la porte du four. Je lui tourne la tête pour qu’elle admire notre chevauchée. Elle à la bouche ouverte mais aucun son n’en sort. Si ce n’est nos respirations, c’est le silence dans la maison. Je sens sa mouille m’inonder. Je regarde sur la table et une petite flaque s’est formée. Je récolte son jus qui coule sur ses cuisses et lui fait lécher mes doigts. Je vois que son anus palpite. Je lui enfonce mon pousse. — AHH, ARGH... Encule-moi !!!- Tu es propre ? — Oui, OUI, toujours avant de sortir. Ma sœur et moi on se le fait mutuellement. A cette invitation, je ne résiste pas et me retire de son con pour présenter mon gland sur la petite rondelle de Léa. Son anus est distendu. Je pousse délicatement. Elle sert les dents. Petit à petit mon gland force le passage. Il est aspiré par son ...