Dame Erika (13)
Datte: 31/07/2017,
Catégories:
Erotique,
Chapitre 13 : Le réveil LIOUBOV Après s’être dépensés comme une armée de guerriers, avoir mangé et bu comme une compagnie de soldats revenant de la guerre, ils se sont endormis. Le repos fut long, très long : ils on dormi le temps que le soleil se lève et se recouche. Maintenant il fait jour ; ils se réveillent doucement, ouvrent les yeux et se découvrent, un peu surpris. La surprise ? Des plus agréables, somme toute, de se voir tous les deux dans le même lit, Élise et Pat, mais aussi Tina et Tom. Ils ont dormi ensemble, nus dans les bras l’un de l’autre, ont plongés dans des rêves dont personne ne saurait dire de quoi ils étaient faits, ni si une vague amoureuse est venue submerger leur couche pour les conduire dans de nouveaux délires érotiques. Le soleil, qui montre le bout de son nez depuis déjà un bon moment, laisse passer par les fenêtres de doux et chauds rayons ; enjoués et coquins, ils viennentcaresser les fesses de la belle Élise encore endormie qui lui expose, les cuisses bien écartées, savulve. Sans aucune pudeur, elle montre aussi son anneau brunâtre, sans nul doute pour se voir gratifiée d’une caresse de la part de l’astre solaire qui sort la belle Élise de sa torpeur matinale. Un regard à son chevalier marseillais, tendre, et visiblement amoureux ; le premier baiser, la première caresse, les premiers mots de la journée sont sensuels, doux, câlins. Les mains curieuses glissent sur les corps encore raidis par cette longue période de sommeil ; elles palpent ...
... avec délicatesse, cette délicatesse qu’il est bon d’avoir dans ces moments-là : l’amour naissant se doit d’être choyé, entouré de douceur, comme l’enfant venant chercher, les yeux encore remplis de sommeil, le doux câlin du matin que sa maman va lui donner. L’effleurement des doigts sur les tétons se propage dans tout le corps. Le contact avec les parties intimes procure de légers picotements ; les sexes se réveillent. Un long baiser coquin en précède un autre beaucoup plus intime, doux et intense à la fois, mais suffisant pour déclencher une vague de désir intense. Malheureusement, il n’ira pas plus loin, laissant sur leur faim vagin assoiffé etverge en berne. La violence presque bestiale dont ils ont fait la démonstration pour les besoins du spectacle s’est transformée en de douces et câlines retrouvailles matinales. Par contre, leur estomac crie famine à cause de la somme de travail fourni pour assouvir leur faim et soif de sexe. La porte de la chambre s’ouvre, et Sara apparaît, radieuse et plus belle que jamais. Sa chevelure dorée lui tombe sur les épaules. Elle est entièrement nue : cette tenue aussi surprenante qu’inhabituelle est le nouvel uniforme des deux servantes, imposé par la maîtresse des lieux à la suite du prodigieux spectacle donné l’avant-veille. Elle porte un plateau avec toutes sortes de victuailles disposées avec élégance. Après l’avoir déposé sur la table, elle s’approche du lit afin de saluer les hôtes, prononçant un « Bonjour, damoiselle Élise » et un « ...