Le stage
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
vacances,
Masturbation
Oral
hdanus,
inithh,
... nos cuisses, il me semble que lui aussi préférait cacher son émoi. Son sourire était franc, sa main sur la mienne était douce et tiède, je me suis rapproché de lui de manière que sa cuisse soit bien appuyée contre la mienne. Lui me la pressait doucement de ses doigts, augmentant les sensations que j’éprouvais. Nous n’avons parlé que de choses futiles, le temps, l’océan, la brise. À un moment, il m’a demandé, me regardant droit dans les yeux : — Tu veux encore boire quelque chose ici ou préfères-tu venir jusque chez moi ? Je devinai où il voulait en venir, mais je n’ai pas hésité un instant pour lui répondre oui. Il a payé l’addition, nous avons noué nos serviettes en pagne et nous sommes partis. Lui aussi avait loué un chalet situé non loin du nôtre, plus petit, qu’il occupait seul depuis cinq jours. À sa demande, j’ai répondu que cette fois je prendrais aussi une bière, directement à la bouteille, j’avais la gorge un peu sèche. Sa verge, entourée d’une jolie broussaille naturelle très noire était encore gonflée, j’en admirais le gland légèrement violet à l’extrémité d’une hampe nettement plus foncée que la mienne. J’ai tendu la main libre pour la toucher, elle était toute douce. J’étais étonné de mon geste, c’était pour moi une première, mais il répondait à une impérieuse nécessité de l’instant. Je le lui ai d’ailleurs fait remarquer : — Excuse-moi, elle me paraît tellement belle que j’ai voulu me rendre compte de sa réalité.— Pas de souci, m’a-t-il répondu avec un sourire ...
... encore plus éclatant. Elle adore les mains qui ne sont pas les miennes.— J’ai envie de plus, lui ai-je dit, j’ai envie de la goûter. J’ai essayé avec la mienne, mais je n’y arrive pas, je parviens seulement, quand je me couche sur le dos et appuie les jambes au mur, à éjaculer en direction de mon visage et à en recueillir une partie directement en bouche. Sans attendre son accord, mais prêt à arrêter s’il le demandait, j’ai posé ma cannette, je me suis penché, j’ai ouvert la bouche pour la sentir d’abord un peu molle, mais offerte et disponible. Tout de suite, la voilà réactive, elle se lève et s’affermit. Je sens qu’elle ne demande qu’à aller vers son état de raideur et de rigidité maximum. Ma main droite la saisit à la base, la gauche descend et malaxe son pendant immédiat, les testicules si dignes d’intérêt et qui valent la peine d’être découverts et dégustés. J’entends la respiration de Fahri devenir plus bruyante, saccadée, cela me donne l’envie de poursuivre, de me faire plus insistant. Mais Fahri me relève, m’entraîne vers le lit où nous nous allongeons sur le côté, chacun avec le visage face au pénis de l’autre. C’est vrai que c’est plus confortable. Je la reprends en bouche, ma langue se fait plus ferme, elle parcourt toute la tige, s’attarde sur le méat, y aspire la goutte salée de l’excitation avant d’avaler le gland parvenu à sa toute-puissance. Je sens maintenant les mains de Fahri caresser mes testicules, s’aventurer sur mon périnée, revenir au point de départ ...