L'élixir de jouvence
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hagé,
inconnu,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
pénétratio,
historique,
fantastiqu,
historiqu,
fantastiq,
... sombra dans l’inconscience. * * * Quand il se réveilla, il sentit une nouvelle vigueur dans son corps : il avait réussi ! Il ne distinguait pas encore grand-chose. Il leva timidement sa main droite, et fut surpris de la voir si fine et si blanche. Reprenant ses sens, il n’était guère à l’aise. Quelque chose avait changé en lui, mais il ne savait définir quoi. Inquiet, il porta la main à son cœur, pour vérifier s’il battait convenablement, mais rencontra un obstacle de chair totalement inédit… « Ça alors ! » pensa-t-il. Il descendit sa main entre ses cuisses, et chercha vainement un quelconque attribut mâle. Fouillant à travers l’épaisse toison qui lui couvrait le bas-ventre, il aventura ses doigts à l’intérieur d’un orifice qui n’existait pas auparavant ! Cette opération produisit chez lui une sensation tout à fait nouvelle. Il remonta plus haut, et explora le centre du plaisir qui existe chez les femmes. Il en évalua la forme, et le sentit prendre un peu de volume sous ses palpations. Il ressentit un immense bien-être, à caresser ainsi les nouvelles parties de son anatomie, mais cessa son exploration. Il se releva et put s’admirer dans le miroir. Il avait devant lui, la plus jolie jeune fille blonde qu’il puisse imaginer, tout le portrait de la Vierge de Lippi ! Les proportions parfaites de son visage angélique n’avaient d’égales que la splendeur des formes de son corps, dignes de Vénus elle-même : des seins bien dessinés, ni trop petits, ni trop lourds, fermes au toucher, ...
... et dont les mamelons pointaient fièrement, des fesses bien rondes, qui leur servaient de contrepartie, en bas d’un ventre accueillant, paré du plus beau des nombrils. Une toison dorée, contrastant à peine avec la pâleur d’ivoire de la peau, masquait au regard le temple qu’il venait d’explorer. Ses longues jambes fines s’achevaient en de délicats petits pieds. Ses deux bras, faits pour l’amour portaient les plus jolies mains que l’on eût pu rêver, fines et délicates, faites pour prier autant que pour prodiguer des caresses. L’alchimiste n’en revenait pas. Il n’avait pas prévu cela !… Il prit en vitesse un drap dans une armoire, et s’en revêtit. Puis il gravit une à une les marches de la cave, jusqu’au passage secret qui débouchait dans sa bibliothèque. Il colla son oreille à la porte de sa chambre, et frémit en entendant des rires. Malheureusement, il renversa par mégarde un chandelier, qui s’effondra bruyamment. Il paniqua. Il entendit des pas, et tenta de revenir en hâte vers le passage secret, mais une main ferme agrippa son bras blanc. — Ça alors, rugit une voix d’homme, le vieux fou nous a caché qu’il avait à son service une aussi jolie servante ! Apeuré, Guido, prisonnier de son corps de pucelle, regardait Tazzo, toujours aussi nu qu’au jour de la Création, qui était à l’instant précédent sa victime, et qui maintenant l’avait à sa merci. Il s’en voulait de ne pas l’avoir laissé mourir en compagnie de cette catin ! Toutefois, il ressentit un trouble nouveau, en admirant ce ...