Le Blue Inn
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
couple,
couplus,
nympho,
grossexe,
bizarre,
hotel,
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
jouet,
fantastiqu,
fantastiq,
roadmovie,
couple+f,
... ces types ? La voix de Kelly-Ann, encore dans les vapes. Polly dormait profondément, sa joue contre mon épaule et sa main sur mon membre flétri. Je jetai un œil sur le réveil qui indiquait 11:08 a.m. — Je l’ignore, répondis-je, la bouche pâteuse. Avant d’allumer une cigarette. — Vous ne les connaissiez pas avec Polly ?— Pourquoi cette question ? Miss América m’embrassa tendrement dans le cou. — Parce qu’ils possédaient le même tatouage que vous sur la nuque… Du moins le type que tu as achevé derrière le bar.— Quoi ? De quel tatouage tu parles ?— Tu sais bien… cette espèce de spirale noire… Mon sang se glaça dans mes veines, me laissant sans voix. Comment était-ce possible ? Ce que Kelly-Ann considérait comme un tatouage n’en était pas un. Je pensais qu’il s’agissait d’une saloperie que nous avions ramassée, Polly et moi, à notre arrivée à Camp Valley, un genre de bactérie inhérente au lieu. Après tout, le vieux nous avait bien assuré que l’endroit était maudit, chargé d’un air malsain et d’une dégénérescence dont sa famille avait subi les conséquences. Mais alors, comment expliquer que les deux captives qui servaient de putain au Pussy’s n’étaient pas infectées elles aussi ? Cette question resta en suspens au-dessus de mon crâne, telle l’épée de Damoclès. J’avais la désagréable sensation que la vérité ne devait pas être révélée, comme si je ne serais jamais disposé à l’accueillir, de peur de me brûler les yeux. Je songeai tout à coup aux porte-flingues. Ils étaient là ...
... pour lui, j’en étais persuadé. Gras du bide. Comme nous l’avait annoncé l’ange exterminateur, ils n’étaient pas là pour nous. Gras du bide. Jason. Lui seul pouvait nous en dire davantage. Pour l’heure, il était affalé sur son siège, à nouveau occupé à souffler comme un bœuf dans son sommeil. — Qu’est-ce qu’on va faire, Mike ? interrogea Kelly-Ann.— J’ai faim, dis-je en m’extirpant des bras de la blonde pour me lever, une Lucky au bec.— Mmmm qui a faim ? reprit Polly en s’étirant comme une chatte.— J’ai envie d’une bonne entrecôte. Mais avant, se débarrasser de toute cette puanteur… Et je filai dans la salle de bains. Là, je pris une longue douche, très longue. Ces quelques heures de repos m’avaient fait du bien, et je sentais mes cellules se régénérer au contact de l’eau glacée sur ma peau. Une vingtaine de minutes plus tard, j’avais l’impression d’avoir mué, abandonnant mon enveloppe mortelle aux égouts. Cela ne m’empêchait pourtant pas de ressembler à un cadavre. Mon visage restait cabossé, mes membres chargés de cicatrices et divers hématomes, et mon squelette me faisait copieusement souffrir. Une étrange sensation habitait mon corps, celle d’un accroissement de mes os, comme s’ils se développaient à l’intérieur. Et puis ce sexe qui n’en finissait pas de pousser, comme un appendice monstrueux. De quoi confirmer l’hypothèse des radiations de Camp Valley. Ce fut avec mes incertitudes que je regagnai la pièce principale, une serviette autour de la taille. Ce que j’y découvris ...