Randonnée sportive (3)
Datte: 16/09/2018,
Catégories:
Divers,
La nuit devant la cheminée est une suite ininterrompue de cris et de caresses, de ahanements et de gémissements de plaisirs, il y a des claquements de peaux qui se heurtent, des bruits de sussions, et des moments de silence, de récupération. Pendant que Laurence et Charles, épuisés au sortir d’une baise monumentale se sont endormis, Flo, qui a toujours été une bonne samaritaine, va rendre un petit service à Louis qu’elle délivre d’une quantité importante de sperme qui dormait dans ses couilles depuis plusieurs jours. Elle s’en étrangle presque. Elle adore sentir sa bouche et sa gorge se remplir au point de déborder, giclée après giclées. Elle n’est pas déçue de voyage. Louis de son côté retient ses gémissements de plaisir pour ne réveiller personne, surtout pas Laurence. Mais Charles s’est réveillé, il a cherché Flo à côté de lui, pour comprendre dans son demi-sommeil qu’elle était allée voir Louis. Charles ne reconnait pas sa Flo. Quelque chose s’est passé qui l’a transformée…. Mais quelle nuit ! Laurence s’est donnée entièrement, bruyamment, un doux petit con, chaud et trempé, et son corps de reine. Il en a bien profité. Mais quand même, qu’arrive-t-il à Flo ? Elle lui fait une gâterie en revenant, mais il ne veut pas lui donner à boire, après qu’elle a été soulager Louis. Et il se finit en reprenant Laurence, son petit cul, qui reçoit la dernière dose ; disponible à peine réveillée. Le jour se lève. Les couples se reforment, mais rapidement Louis renvoie Laurence : « ...
... Avec tes airs de fille fidèle et qui exige la réciprocité tu t’es fait baiser par un inconnu toute la nuit devant moi ! Dégage ! ». Louis fait son sac en colère, s’en va en rage, claque la porte. Laurence implore du regard ses partenaires de la nuit, précise qu’elle a de la nourriture pour elle ; ils lui font comprendre qu’elle viendra avec eux. Charles a une belle envie de continuer sur la lancée de la nuit. Flo aussi apparemment. Ils prennent le temps de déjeuner, de ranger la cabane, et de déjeuner. Ils partent un peu tard, le ciel est couvert, des nuages montent dans la vallée. Encore une étape écourtée pense Charles, et il le comprend d’autant mieux que le brouillard recommence à monter. La question sera vite de savoir si on s’arrête bientôt ou si continue de marcher à la recherche d’une autre cabane. Mais le brouillard ne vient pas vraiment, il rôde, et le trio avance. Charles le plus souvent devant, les deux femmes le suivent. Ils parlent peu, essaient de ne pas ralentir la marche vu le temps. Quelques haltes pour boire et pour manger, la marche consomme beaucoup de calories, et d’eau. Au cours d’une halte Charles, comme Flo s’approche de lui en manifestant par sa démarche exagérément marquée quelque chose comme des intentions très précises, l’interroge ; après tout, ils partagent tout avec Laurence, alors, à quoi bon garder ses questions : « Flo ? Je ne te reconnais pas, toi qui étais si réservée… prude… pudique à l’extrême, tu es sans retenue ! Prête à tout, même en ...