1. Randonnée sportive (3)


    Datte: 16/09/2018, Catégories: Divers,

    ... Incapables de faire autre chose du fait du brouillard qui stagne sur eux, ils crient. Sans résultat. Il fait froid, le brouillard s’assombrit, ils montent la tente, s’installent, font à manger, et mangent rapidement car il fait très froid. Ils crient encore, et rien ne leur répond… ni surtout personne. Laurence ne serait pas si désolée que ça, mais elle a quand même peur pour Flo, nue dans ce brouillard glacial, et Charles est plein d’angoisse, de remords un peu, elle le lui avait dit : « Si tu la touches je te quitte ! » est-ce qu’elle est partie ? Mais dans ce brouillard, et ces loups, et CE loup qui l’a saillie, à qui elle s’est livrée, offerte, elle qui se disait en chaleur comme une femelle…. Ils ont quand même fini par dormir. Puis par se réveiller, sans bien savoir lequel réveillait l’autre…. Charles sent le corps de Laurence contre son ventre, et Laurence sent le membre de Charles dressé entre ses fesses. Il entoure le corps de Laurence de ses bras et elle sent ses mains sur ses seins et ses bras qui la tirent vers lui, elle sent les mouvements des mains de Charles, il abaisse leurs pantalons, il lui retire sa culotte, et glisse sa bite entre ses fesses… elle sent la pointe de la bite qui glisse de bas en haut et de haut en bas, elle ne sait par où il va la pénétrer… mais tout ce qu’elle veut c’est qu’il la prenne, qu’il enfonce sa queue en elle, elle écarte les fesses, s’ouvre, sa fente, son cul : « Choisit mais entre, enfonce là ! » C’est à ce moment qu’elle ...
    ... crie : il la sodomise, il a pris son cul, qu’elle offrait, ouvrait, et la pointe de sa bite est entrée, et il pousse, il la tire contre lui, par les hanches : « Viens », et elle se donne, elle se laisse tirer vers lui, elle l’accompagne, elle pousse sa croupe vers lui, elle s’empale sur sa bite et elle crie quand il force. Il finit par être en elle. Elle ne se donne pas assez pour jouir, il la prend pour trouver un exutoire à sa nervosité et retomber dans son sommeil. Et à peine a-t-il vidé ses couilles qu’ils se rendorment. Avant d’affronter le jour ils recommencent. C’est Laurence qui entreprend d’exciter Charles, pour qu’il se perde dans ses yeux, pour qu’il la prenne, la fasse sienne. « Prends-moi, comme si tu prenais possession de moi, fais-moi tienne, marque-moi, mords, fais moi crier mais mords moi, marque moi, partout où tu veux, baise-moi, j’ai besoin de tout ça avant d’aller voir ce qui s’est passé…. » De lui-même il aurait fait tout ça ! Il la dénude dans la tente qui commence à se réchauffer au soleil, il met des marques de ses dents sur tout son corps, il utilise tous ses orifices, et elle le finit en le branlant sur ses seins. Il est dix heures, ils ont plié la tente, et partent à l’exploration des alentours, où ils ne trouvent rien, ni vêtements, ni trace de quoi que ce soit. Il n’y a pas vraiment de ravins ou elle aurait pu disparaître sans laisser de traces dans les environs immédiats. Il n’y a pas de raison de penser qu’elle se soit enfuie seule dans le ...
«1...3456»