Ma drole de famille (3)
Datte: 16/09/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... énorme vit et le faire se redresser pour me planter dessus. Ma main descend sur mon sexe et mes doigts s’agitent sur mon clitoris. Mais, très vite, il se sèche, sort de la salle de bain et éteint la lumière. Il n’a pas jeté le moindre regard dans ma direction, mais moi, je suis liquéfiée, les doigts couverts de cyprine. Je n’en peux plus, il faut que mon corps exulte. Je vais récupérer ma trousse à accessoires dans laquelle je prends le gode ventouse et vais dans la salle de bain. Je le fixe à bonne hauteur sur un carreau d’un mur de la douche, je me positionne dos au mur pour le présenter face à ma vulve. Pas besoin de lubrifiant, elle ruissèle et est prête à recevoir ce bel engin. Je me pli en deux et me laisse aller en arrière sentant mes lèvres s’écarter pour laisser entrer le braquemard qui me remplit entièrement. Je reste un moment immobile, le gode entièrement enfoncé dans mon sexe, pour m’imprégner de son volume et le sentir me posséder totalement en pensant au sexe de Michel. Au bout de quelques minutes, je fais de lents mouvements de va et vient pour laisser monter doucement mon plaisir. Je sens le gland du gode me labourer le vagin sur toute sa longueur. J’aime quand mon corps prend possession de tous mes sens et guide mon cerveau pour en tirer un maximum de jouissance. Je sens monter en moi une sensation de plénitude, mon sexe m’envoie des ondes de plaisir qui enflent petit à petit et finissent par me submerger. L’orgasme me terrasse, je jouis pliée en deux, ...
... agrippée au lavabo en essayant de ne pas m’écrouler tellement mon corps tremble et s’agite dans tous les sens. Le gode se libère dans un bruit bizarre et je fini à genou sur le sol, le souffle court mais le corps apaisé. Je reste un moment dans la même position à scruter les moindres parcelles de plaisir qui continue de traverser mon corps. Je récupère doucement, je ne suis pas pressée. Au bout de quelques minutes, je rince mon gode, le range, prends une nouvelle douche et retourne me coucher un peu comme un zombi. Une fois dans le lit, je m’écroule dans les bras de Morphée, emportée par la fatigue. Je dors depuis à peine une heure quand j’entends frapper doucement à ma porte. –Laure, tu dors ? C’est Paule qui est derrière la porte. –Plus maintenant, entre. Elle entre, allume la lumière et ferme la porte derrière elle. Elle est en nuisette plutôt courte et très transparente. Elle ne porte rien dessous. Je peux voir ses magnifiques seins pointer sous le tissu et sa toison pubienne bien dessinée. Elle vient s’assoir sur le bord du lit. –Que t’arrive-t-il ma chérie ? –J’avais juste envie de te voir, de discuter avec toi, juste toutes les deux, pour qu’on se connaisse mieux, je peux entrer dans ton lit ? –Et tu viens me voir habillée comme ça ? –C’est ma tenue de nuit. –Ok, entre dans le lit, mais je te préviens, je dors tout le temps nue. –Pas de problème. Sur ces paroles, elle fait passer sa nuisette par-dessus sa tête et la jette en travers de la chambre. –Comme ça, on est dans la ...