Ma drole de famille (3)
Datte: 16/09/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... simultanément. Ensuite, sa langue me titille le clitoris, ses lèvres aspirent ma cyprine qui coule abondamment, tout en me mordillant les seins. Etrange rêve, surréaliste comme tous les rêves. Mon corps se laisse aller à cette volupté et commence à onduler pour accompagner le plaisir qui monte en lui. Mes cuisses s’ouvrent, des mains plient mes jambes et les redressent en V pour bien ouvrir les lèvres de mon sexe, tout en caressant mes seins. Deux doigts s’enfoncent doucement entre mes lèvres, et commencent un doux va et vient. Soudain, une langue descend et vient lécher mon anus, un doigt tente de le pénétrer, ce qui me réveille. Stupeur, je ne suis pas seule dans le lit, il y a Paule mais aussi Aline au-dessus de moi. –Putain, mais que faites-vous. Elles se redressent, mais n’ont pas l’air gênées que je me sois réveillée. –On s’occupe de ton magnifique corps, tu le vois bien ? Je me redresse sur le lit et me couvre avec les draps. –Ça vous gênerais de me demander mon avis ? –Laure, ne me dis pas que tu n’as pas aimé, ton corps parlait pour toi, tu ...
... aimes l’amour sous toutes ses formes, tu me l’as dit toi-même, et je crois que tu as bien apprécié ce qu’on t’a fait, ose dire que c’est faux. Je suis prise à mon propre piège, j’ai trop parlé et Paule veut en profiter. –Oui, je dois dire que c’était un merveilleux rêve, mais je croyais que c’était un rêve. –La réalité est souvent plus belle que les rêves, laisse-toi faire Laure, laisse nous te donner du plaisir, après on retournera dans notre chambre. On veut juste découvrir ton corps et le faire exploser de plaisir, tu n’es pas d’accord avec ça ? Je ne sais quoi faire, d’un côté je suis dans une situation peu banale devant ces deux superbes filles, nues, qui se sont introduites dans ma chambre à mon insu et qui veulent me faire jouir. Je voudrais leur faire comprendre qu’on ne fait pas n’importe quoi et leur demander de sortir tout de suite, mais, d’un autre côté, je suis tellement excitée par ce qu’elles m’ont déjà fait que mon corps demande la suite et la fin tout de suite. Sans trop réfléchir, j’obéi à mon corps. –Ok les filles, je suis à vous. …/…