1. Une Semaine à la neige (2)


    Datte: 16/09/2018, Catégories: Transexuels

    Quelques heures déjà que nous roulions, j’étais toujours enfermé dans mon sac de couchage la bouche pleine de sperme que j’avalais par petite touche, je voulais pas le decevoir, impossible pour moi de bouger, je ne savais pas où nous en étions mais j’avais cru comprendre que nous étions sortis de l’autoroute, l’enchainement des virages se faisant plus rapidement, l’homme ne parlait pas, il se contenter de changer sa radio quand la musique ne lui plaisait pas, j’attendais d’arriver quand j’entendais : — Eh merde ! La voiture ralentit, il se déporta sur la droite et j’entendais la vitre s’ouvrir : — Bonjour Monsieur, Gendarmerie nationale, papiers du véhicule, permis de conduire s’il vous plait ! — Bien Monsieur l’agent, voilà. — Vous arrivez d’où ? — Marseille — Vous êtes allés faire quoi à Marseille ? — J’ai ramené une copine chez elle, rien de bien fou — Vous êtes bien sympathique vous ! Jusqu’à Marseille ? — Tout à fait — Pas d’armes, pas de drogues dans le véhicule ? Si je fouille je n’aurais pas de surprise ? — Je vous en pris Monsieur ! Il y eu un silence puis : — Attendez ici 2minutes. J’avalais le reste de ce que j’avais dans la bouche d’un coup, mon stress augmentait, que se passerait-il s’il décidait de fouiller la voiture et qu’il me trouvait là, ligotée dans mon sac de couchage, sous les couvertures à l’arrière, je me demandais d’ailleurs comment ce tas de couverture pouvait ne pas attirer son attention, j’essayais de retenir ma respiration et de ne pas bouger ...
    ... le moindre millimètre de mon corps, j’écoutais la conversation : — Vous rouliez un peu vite Monsieur, je ne peux pas prouver votre vitesse mais je suis certains que vous étiez à plus de 70 KM/H , vous êtes chanceux, voilà vos papiers, vous pouvez y aller. — Merci Monsieur, bonne journée ! Il redémarra et conduit moins vite pendant 5 min puis j’entendais : — Connard de flic ! Suivi d’une brutale accélération, il ajouta : — Ma salope, t’inquiète, je sais que tu as eu peur, mais dans 10minutes nous sommes chez moi, pendant la semaine je vais te régaler ! HAHAHAHAHAHA ! Son rire m’inquiétait, il ne transpirait pas le calme, mais le sadisme et l’envie de me mettre une pression mentale, je commençais à regretter ma venue mais j’avais cherché, je devais assumer et lui montrer que je ne craquerai pas rapidement, pendant que je réfléchissais à ma situation, il s’engagea sur un petit chemin en terre, il y eu un portail et enfin un garage dans lequel il rentra la voiture, une fois à l’intérieur, il retira les couvertures qui me cachaient et il me dit : — Nous sommes arrivés dans ton enfer, bienvenue ! Je ne pouvais répondre mais j’espérais qu’il enlèverai mon bâillon, qui commençait à me serrer et surtout me donner mal au visage mais il ne me toucha pas, il se contenta de me sortir du sac de couchage et me pris en poids sur son épaule, il était bien plus costaud que ce que j’imaginais, il ouvrit une porte, descendit des escaliers et enfin une autre porte, l’odeur de la cave m’excitait, ...
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