1. Une Semaine à la neige (2)


    Datte: 16/09/2018, Catégories: Transexuels

    ... j’allais donc être gardée prisonnière ici, dans cette cave lugubre, il n’y avait rien, à part un matelas en plastique de camping, une chaise et une ampoule au plafond qui éclairait mal et qui sautait toutes les 2 minutes, il me jeta sur le matelas et sans rien dire il reparti, je tentais de tester mes liens,mais le tout était bien trop serré du coup j’adoptais une position latérale qui me permettait de me sentir plus à l’aise, honnêtement je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça mais je fini par m’endormir, je me réveillais souvent à cause de mes liens qui m’empêchaient de me positionner comme je voulais, quand soudain : — Alors ma petite salope, on se réveille ? Le voyage t’a fatigué ? Il faut pas, je vais bien te réveiller moi ! dit une voix Il etait là sur la chaise dans mon dos il m’observait, je ne sais pas depuis combien de temps il était présent mais sa voix me crispa, elle semblait encore plus perverse et vicieuse que dans la voiture, il se leva et s’avança vers moi, il s’allongea à coté de moi et commença à me caresser, les jambes d’abord, puis il remonta sur mes fesses, ses caresses ont eu pour effet de m’exciter au plus au point, ma respiration accélérée lui indiqua qu’il avait touché juste : — Mais c’est qu’elle est excitée, ne te lâche pas trop vite, tu vas en chier petite pute, chuchotait-il dans mon oreille, ses caresses s’arrêtèrent, il se leva, je l’entendais chercher un truc dans une boite à outils, quand il revint avec un cutter, que je ...
    ... l’entendis ouvrir, je commençais à paniquer malgré l’excitation et tentais de bouger sur le matelas pour lui montrer que je ne me laisserai pas faire, mais il ria et s’approcha, il me bloqua en s’agenouillant sur moi et baladait la lame sur mon visage : — N’aies pas peur, t’es à moi, j’ai aucune envie d’abimer ce joli minois, mais tu dois être bien sage, obéissante, n’oublie pas que c’est ce que tu veux... — HUMHUUUUUMHUUMMMMMMMMM — Non non non, pas de cris, j’allais te libérer mais en fait, je pense que tu aimes cette situation... iltiggex Il se retira et descendit le cutter le long de mes jambes, quand soudain il sectionna les liens qui maintenaient mes chevilles, puis mes cuisses, il souriait mais ne disait toujours rien, il recommença à me caresser, avec plus de vigueur, il s’aventura vers mon trou, qu’il massait généreusement, tout en me caressant avec sa main droite, je sentais ses doigts fouilleurs qui voulaient pénétrer mon intimité, il saliva pour lubrifier et son pouce pénétra mon intérieur, rapidement suivi de l’index et avec un peu plus de difficulté son majeur, il avait 3 doigts en moi et me tenait littéralement par le cul : — Petite chienne, t’es assez ouverte pour m’accueillir mais pas assez pour être considérée comme une vraie salope, tu me plais de plus en plus. Je tentais de me détendre mais son discours envers moi n’incitait pas à la totale confiance, mais enfin, j’étais là, ligotée bâillonnée sur un matelas dans la cave de mon "ravisseur" alors autant être ...