Camp de Dressage
Datte: 31/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fragiles. Je le suppliais d'arrêter, mais inlassablement il continuait.Il descendit un peu, frappant maintenant sur les cuisses, juste sous les fesses là où la peau est la plus fine. La douleur était insupportable et je me démenais dans mes liens.Puis il me fit face et me frappa sur le ventre. A chaque coup, je me balançais sous l'effet de la douleur, je criais et pleurait et je pense que ça l'excitait encore plus pour frapper. Il continua sur l'aine et le devant des cuisses, puis se mettant de côté les coups se portèrent sur mes seins. Il visait les mamelons et chaque coup les faisaient bouger de façon très érotique. Je m'époumonais de plus belle, lui promettant de faire tout ce qu'il désirait de moi s'il arrêtait. Mais c'était peine perdue, je devais subir mon châtiment jusqu'au bout.Se mettant ensuite face à moi, il envoya la cravache en plein au centre de mes cuisses, entre mes lèvres intimes. Je serrais immédiatement les cuisses afin qu'il ne puisse plus m'atteindre sur cet endroit si fragile. Il se fâcha sévèrement :- Écarte les cuisses – dit-il avec un air mauvais- que je puisse viser ton sexe. Tu as intérêt à obéir, sinon gare à toi, ce sera pire. Juste deux coups sur ton con et je passe à la suite.J'obéis, épuisée et tremblante. J'avais trop peur que la suite soit encore plus atroce. Au premier coup, je lâchais un hurlement abominable, toute ma volonté fut nécessaire pour que j'écarte à nouveau les cuisses. Au deuxième coup, je crus défaillir. Je pendais maintenant ...
... misérablement dans mes liens.- Même chose sur ton trou du cul et après je te laisse tranquille un moment. Allez écarte !Une fois encore, je desserrais mes cuisses, la mort dans l'âme. Il appuya un nouveau coup, frappant une nouvelle fois de bas en haut afin que l'impact soit plus cuisant. Puis enfin le dernier coup arriva, me faisant projeter les jambes en avant sous l'effet de la douleur. Je pleurais et tremblais de tous mes membres. J'étais complètement effondrée et je me laissais pendre. Tout mon corps me faisait mal, j'avais l'impression de n'être qu'une plaie. J'aurais voulu me frotter le corps avec mes mains pour en apaiser la douleur, mais on ne m'en laissait même pas le loisir.Il me laissa là un bon moment à digérer ma peine et sortit.Pendant ce temps, mes compagnes étaient logées à la même enseigne. Elles subissaient également le fouet ou la cravache et on n'entendait que des cris et des gémissements.Lorsque mon bourreau revint, j'eus un frémissement de tout le corps. Je le suppliais de me laisser tranquille, que je serai docile, mais que j'avais trop mal.Il me détacha les bras et je m'écroulais au sol, privée de mes forces. Il me porta alors sur une sorte de chevalet où il m'installa sur le dos, les bras en arrière réunis par un bracelet de cuir qui les maintenaient. Puis il m'écarta les cuisses et attacha mes chevilles à deux autres bracelets. Le chevalet était en arc de cercle et mon ventre était projeté en avant. Voyant que j'étais à nouveau à sa merci, je me mis ...