Camp de Dressage
Datte: 31/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... à pleurer de plus belle. Dans cette position mon sexe et mes reins se trouvaient entièrement à sa portée.Il s'approche alors de moi après s'être mis nu et me pénètre le sexe bien à fond. Je jetai un nouveau cri, mais je ne pouvais que subir. Dans cette position, il me pénétrait profondément et son sexe me blessait chaque fois qu'il buttait au fond de la matrice. Il att**** alors à nouveau mes pointes de seins et les écrase entre ses doigts, les triturants en les tirants et les tordants également pour me faire souffrir. Je jetais de hauts cris en le suppliant d'aller plus doucement et que je serai docile.Il se retire au bout d'un moment en me disant qu'il allait m'enculer. Mon cul lui faisait trop envie et il voulait me faire encore plus mal. Il pointe alors sa bite sur mon anus et commence à forcer. Jamais on ne m'avais prise par là et je craignais qu'il me déchire. Mes cris se transformèrent en hululement continus qui devait l'exciter encore plus car sa verge était encore plus dure qu'avant. Il entre d'un seul coup dans mes reins, s'enfonçant d'une dizaine de centimètres. Il se retire un peu, puis d'un coup de rein magistral il s'enfonce de la totalité de son sexe. Puis il me pistonne avec force et v******e. De ses deux mains, il reprit mes tétons pour les froisser à nouveau entre ses doigts.Il me prit ainsi pendant plusieurs minutes avant de se vider au plus profond de mes reins. Son sperme me fit l'effet d'un baume à l'intérieur de mes intestins malmenés. Il se retire ...
... enfin.- Pour te remercier de m'avoir prêté ton con et ton cul, je vais te caresser avec mon fouet. Ici les récompenses ressemblent aux punitions, il faudra que tu t'y fasses ma petite !Il prit alors une sorte de martinet constitué de lanières en cuir d'au moins un mètre de long. Prenant de l'élan, les projetant derrière lui, il m'en lance un coup violent en plein sur mes seins. Un nouveau hurlement sort de ma poitrine lorsque les lanières claquent sur la peau fragile, laissant plusieurs traces rouges. Un deuxième coup suivit, puis un troisième. Il change ensuite d'endroit, frappant sur mes côtes, puis sur le ventre en plein sur le nombril. Puis se plaçant entre mes cuisses, il frappe rudement sur celles-ci en remontant sur le sexe. Deux ou trois coups de plus eurent raison de moi. Je m'évanouis.A mon réveil, je me trouvais dans une sorte de cellule, celle-ci était sommairement meublée : Un lit, une table avec une chaise et un coin toilette avec un lavabo, un W-C et un bidet. Un seul point de jour donnait de la lumière à travers des pavés de verre. Sur les murs, une sorte de toile matelassée qui donnait une impression de chambre sourde. Par endroits, des chaînes étaient fixées, terminées par des bracelets de cuir. A chaque angle, à hauteur de plafond, une caméra était fixée, épiant mes moindres faits et gestes. Tout était fait ici pour subir sans avoir aucune chance de s'échapper ou de se défendre. Je replongeais dans mon désespoir et restait un long moment à sangloter.Un moment ...