La fille du patron (3)
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
V m’a proposé de devenir sa chose, mais pour ce, je dois quitter femme et enfants. Elle accepte de satisfaire toutes mes demandes, mais le fera-t-elle ? La seule solution qui s’offre à moi, la tester. — Bien, tu acceptes de faire tout ce que je te demande ? — Oui, je t’ai fait ma proposition, à toi de voir. — Lève-toi et viens avec moi. Je l’emmène à la salle de bain. — Entre dans la douche et mets-toi à genou, face à moi. Je vais marquer mon territoire comme le fait un chien. Et avant qu’elle ne puisse répondre, je lui pisse dessus. Mon jet coule sur sa poitrine, mais je décide de la mettre sous pression directement et je dirige le jet vers sa bouche. — Ouvre, prends la liqueur dorée de ton homme, pétasse. bouche grande ouverte, je termine de vider ma vessie dans sa bouche et fais exprès de déborder et lui arrose les yeux et le visage, la pisse gicle sur sa petite gueule de pute et se répand sur son corps. Lorsque ma vessie est vide, je lui enfonce monsexe dans la bouche. — Nettoie ma bite et mes couilles, V. Elle ne répond pas, juste un hochement de tête et elle s’applique à me polir le dard et les roustons avec sa bouche. Je reprends de la vigueur et j’entame des va-et-vient dans sa bouche. Je tente même une gorge profonde, mais elle a un haut-le-cœur, je me rends compte qu’elle ne va pas y arriver, du moins cette fois. Elle a malgré tout enfourné les trois quart de ma brochette, bon début, avec un peu d’entrainement, je pourrais lui badigeonner les amygdales avec mon ...
... gland. Sa bouche est agréable, mais je ne vais pas venir directement, la nuit ne fait que débuter et j’ai envie qu’elle continue comme elle a débuté. Je sors de sa bouche et me penchant vers elle, lui demande de se lever. — Je vais aller t’attendre à côté, lave-toi et profites-en pour me raser ta chatte et la raie de ton cul. J’ai envie de te bouffer tes trous, mais je ne tiens pas à y trouver depoils. — Oui, L. — Bien et sache que je ne veux plus jamais voir un poil sur ton abricot ou ta rondelle. — J’ai compris. — Allez, dépêche-toi alors, je t’attends dans le canapé. — D’accord, si tu as soif ou faim, tu fais comme chez toi, car tu es ici chez toi. Je retourne au salon, je trouve le bar. Je vais me servir un petit remontant, cela ne fera pas de tort. Une bonne demi-heure s’est écoulée lorsqu’elle revient, elle a passé une petite nuisette noire ultra courte qui lui va à ravir. — Viens ici, devant moi. Je suis toujours assis, je tends la main et la passe entre ses cuisses. Agréable, lisse et doux sur le sexe. — Tourne-toi, écarte tes jambes et penche-toi en avant. — Mets tes mains au sol et gardes la pose. Elle prend la position demandée. Sa nuisette est remontée sur ses reins. Elle est indécente, son fessier est entrouvert et l’on aperçoit le petit œillet froncé et brun dans ce sillon. Je prends ses fesses à pleine main, et écartant les deux globes, j’ai une vue sur son petit pli froncé. Lisse comme le devant, je vais y goûter. Je passe ma langue dans sa raie et ma langue vient ...