La fille du patron (3)
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... tourner autour de sa rondelle. Je la lèche, aspire, essaie de faire entrer la pointe de ma langue. Elle a un cul à damner un saint. Je la retourne et la place à quatre pattes sur le canapé. Je veux son cul, je veux enfoncer mon chibre dans ses fesses. Je présente mon gland contre sa petite rose et fais de lents mouvements pour forcer ce pertuis. — Mais, tu fais quoi là? — Je vais te prendre par le cul, te sodomiser. — Non, je ne veux pas, je n’ai jamais été prise par là. — Je peux faire de toi ce que je veux, tu as oublié! — Non, non s’il te plait pas par là. — Tu vas voir, après y avoir goûté, tu ne pourras plus t’en passer de te faire défriper le fion. Sourd à ces nouvelles jérémiades, je pousse plus fort mon mandrin sur sa rondelle. Elle s’ouvre petit à petit et mon gland se fraye un passage inexorablement. La petite tête de l’engin est entrée, je marque un temps d’arrêt. Qu’elle s’habitue à avoir une bite au cul. — Passes ta main sur ton ventre, branle toi, ça va t’aider. Elle s’astique le clito, elle semble se détendre. Je ne bouge pas, juste le gland, quelques petites rotations mais sans, juste le gland qui masse et détend son anneau. Je sens bien que le moment arrive ou je vais aller plus avant. Ne rien lui dire. Je fais couler de lasalive sur ma tige, je m’en enduis bien la tige. Elle est toujours en train de se palucher le beignet. C’est le moment, elle a l’air bien détendue. D’un seul coup, je rentre mon vit au fond de son ...
... cul. Ma bite est entièrement dans son fondement, je ne peux aller plus profond. Elle pousse un cri énorme, un hurlement de douleur. Elle se débat, mais je suis bien fiché en elle. Il lui est impossible de se dégager de cette étreinte. J’entame un léger mouvement de retrait, elle a l’air de supporter, elle recommence à se branler. J’entame alors des allers-retours de plus en plus amples dans son fion. Bon dieu, quel pied, un trou serré qui enserre bien ma bite. — Tiens salope, pour une qui n’a jamais été enculée, ça passe comme une lettre à la poste. — Ah ça me brûle, tu vas me déchirer. qtaqooxs — Tiens prend ça et encore ça. — Non pitié, je n’en peux plus, s’il te plait arrête ! — Ta gueule, je veux juter dans ton cul, le remplir de foutre. Je deviens vraiment brutal, je me déchaîne comme jamais je ne l’ai encore fait. Elle veut être à moi, elle va comprendre ce qu’elle va devoir subir. Je sens mon orgasme arrivé, je me vide. Plusieurs jets de semence filent lui tapisser le rectum. Je ne reste même pas en elle. Je sors ma queue d’un seul coup. Son cul reste ouvert et béant. —putain, t’es bonne du cul toi. — Tu m’as fait mal, je n’ai pas trop aimé. — Pas trop aimé, cela veut dire qu’à un moment tu as aimé te faire fourrer l’oignon. — Oui, mais trop fort pour ma première fois. — Ne t’inquiète pas, il y en aura d’autres fois. Et ce ne sera peut-être pas la mienne que tu prendras dans le cul. — Alors tu vas rester avec moi ? À suivre...