L'héritier de Protée (14) - Histoires de Sexe

L'héritier de Protée (14)

Tout d’abord, c’est sa stature que je vois augmenter. Sa taille, le volume de son torse et sa musculature prennent des proportions dantesques. Ses yeux virent au jaune, et une toison rouge orangée se développe sur tout son corps. Ses oreilles s’étirent en pointe. Sa mâchoire s’allonge et je vois des crocs de cauchemar pousser et dépasser de ses lèvres inférieures. Et enfin, je vois une queue écailleuse apparaître dans son dos. Le halo qui l’entoure s’est soudainement intensifié. Quant à ses organes sexuels... Je sens que je vais déguster copieusement. Quand la transformation s’arrête, c’est une sorte de démon, de Satan né de l’imagination collective qui se dresse devant moi. Il me domine de presque un mètre. Sa puissance physique doit être surhumaine. Je n’ai aucune chance face à ce monstre… Mais je ne peux m’empêcher de le défier. — Pas mal, dis-je, plutôt impressionnant. Mais un peu caricatural, non ? — Pour la dernière fois, jure moi obéissance ! Gronde Hadès — Jamais ! L’enfer se déchaîne alors… Avant que j’ai pu faire un geste, il m’attrape par les cheveux et m’entraîne brutalement avec lui. Je me retrouve le ventre plaqué contre le dossier du fauteuil de pierre, Hadès derrière moi. Ses mains énormes m’ont enserré la taille, en font presque le tour. J’essaie de me dégager, de me débattre, rien n’y fait ! Je suis juste un jouet entre ses mains et je sens son sexe effleurer mes fesses. Oh merde… Et je pousse un cri de douleur lorsque l’énorme bite pénètre dans mon anus. — ...

... Salaud ! Le démon n’en a cure. Je me sens empalée comme jamais, sauf peut être par Kostia sous sa forme chevaline. L’intensité des sensations est telle que je ne peux plus réagir. Je sens cette bite monstrueuse progresser en moi, remplir mon rectum, forcer le passage, pénétrer mon colon, s’allonger en moi encore et encore, çà semble ne jamais s’arrêter ! Elle est brûlante ! Tout est brûlant chez ce monstre, sa bite, ses mains griffues, son corps que je sens chaque fois qu’il entre en contact avec le mien. Mais jusqu’où va t-il aller comme çà ? Puis soudain, il s’allonge sur moi, tourne la tète sur le coté. Son énorme mâchoire se referme sur ma nuque, ses crocs de chaque coté. S’il décide de la refermer, il va me broyer le cou ! Et il commence de violents mouvements de va et vient. Je crie à chacun de ses mouvements, et il ne s’économise pas ! Comment puis-je éprouver des sensations de plaisir à cet accouplement monstrueux ??? La douleur se mêle à des frissons qui me secouent de la tète aux pieds. Je ne veux pas jouir ! Je ne veux pas lui donner ce plaisir. Je le provoque à nouveau. — C’est tout ce que tu sais faire ? Marguerite baisait bien mieux que toi ! Il rugit de colère. Je sens toute sa frustration. Il se retire brutalement, je pousse un nouveau cri de douleur. J’ai cru qu’il m’arrachait tout ! Il me tire brusquement par les cheveux, me fait tomber par terre sur le dos. Il se jette sur moi, coince mes jambes largement écartées avec les siennes, immobilise mes bras. Sa ...