L'héritier de Protée (14)
Datte: 17/09/2018,
Catégories:
Trash,
... de fausses flammes ? — Non, ce sont des vraies. Vas-y. Fais-moi confiance… C’est fou ! Mais quelque chose dans sa voix m’interpelle, le même ton que Paolo a utilisé avant de… me noyer. Le cœur battant, prête à battre en retraite, j’avance à mon tour ma main vers les flammes… Mais je ne ressens rien, aucune chaleur, aucune douleur. Je vois et je sens les flammes me lécher les doigts, sans dommage, puis le reste de ma main. Avec angoisse j’approche mes doigts vers une des pierres embrasées. Je la touche, je ne ressens rien d’autre que le contact. Je la prend, retire ma main des flammes et contemple avec stupéfaction la pierre rougeoyante posée sur ma main sans qu’aucune trace de brûlure ne s’y inscrive. — Eh bien, me dit-il, ce n’était pas si difficile ? Voilà, dorénavant, le feu n’a plus de prise sur toi. Encore une faculté que Zeus m’a demandé de te faire partager, et je ne sais pas pourquoi non plus. Note que tout le monde n’a pas ton courage, j’en ai vu bien d’autre se dégonfler. Il me tend un chiton qui était posé dans un coin. — Il est temps de remonter. Tu devrais t’habiller, tu sais que Héra aime que l’on soit vêtu le soir. Et… reprend ta vue normale ! C’est alors qu’un gémissement se fait entendre dans un coin de la salle. C’est l’homme amené au début de la séance par Marguerite et Médor qui gémit, toujours pendu par les bras ! — Ah tiens, je l’avais oublié celui là… Christine, si tu lui donnait sa correction si méritée ? Un soupçon et un moment d’agacement me ...
... traverse l’esprit. — Ça ne va pas recommencer ? Tu as promis que tu ne m’obligerai plus rien à faire contre ma volonté ! — Tu te méprends. Ce n’est pas moi qui te le demande. C’est lui. — Quoi ? Sans un mot il retire le bâillon boule de la bouche du prisonnier. Quelle n’est pas ma surprise de l’entendre gémir d’un ton larmoyant ! — Oh oui maîtresse, je vous en supplie, punissez moi ! J’ai été un vilain garçon, je mérite d’être corrigé ! — Là ; tu vois ? Une fraction de seconde, j’ai la tentation de succomber à la tentation, et de donner au masochiste ce qu’il me demande. Une pulsion cruelle et violente a embrasé ma tète. Je m’avance vers lui, le fouet à la main. Je ne suis qu’à quelques centimètres de son visage… Je laisse tomber le fouet. Je retire lentement sa cagoule. Une lueur de surprise traverse ses yeux quand je l’embrasse. Je pénètre sa bouche. Je l’embrasse doucement, tendrement, suavement… J’ai passé un bras autour de son cou. Je relève une jambe, vient au contact de ses fesses. De mon autre main, je guide son sexe frémissant vers ma chatte. Je donne un léger coup de rein pour qu’il me pénètre. Puis je me suspend à lui, mes bras autour de son cou, mes jambes autour de sa taille, ma langue fouille sa bouche,,. Je fais de lents mouvements de bassin. Il laisse échapper un gémissement, tout son corps tremble. Il ne s’attendait pas à çà, et je sens chez lui les prémices de la jouissance. Alors qu’il est prêt de se vider, je me retire rapidement, empoigne sa queue et le branle ...