1. Du très haut niveau


    Datte: 17/09/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail fépilée, ffontaine, Masturbation Oral fgode, fdanus, fsodo, confession, totalsexe,

    ... grande nerveuse, une angoissée. Sa maigreur est à mon sens le reflet de quelqu’un de torturé. Je revois Margot plusieurs fois à l’occasion de mes déplacements à Rodez. Pas de contacts humains. Le discours s’est rodé, elle met souvent ça sous le compte d’un rhume pas encore terminé ou justement terminé sous-entendant qu’elle ne veut pas en avoir un autre. Elle passe son temps à se laver les mains avec une solution hydroalcoolique. Maniaque ou TOC… un mystère. Cette femme est hors normes. Elle est loin d’être moche, elle a un look bizarre, d’étranges pratiques. Elle ne ressemble en rien à ce que j’ai déjà connu et c’est ça qui me plaît, qui m’excite. C’est un soir de juin que tout a basculé. J’étais à Rodez pour deux jours et comme à mon habitude je descendais à l’hôtel Mercure, non loin de la Cathédrale. Un collègue nous avait invités chez lui à une grillade apéritive. Mal à l’aise en société, Margot restait toujours non loin de moi. Je dois avoir à ses yeux un côté rassurant. Avant de rentrer à mon hôtel, je propose à Margot de la déposer chez elle. À ma grande surprise, elle accepte. À ma grande surprise, devant chez elle, elle me propose un verre chez elle. À ma grande surprise, une fois assis, elle nous serre un whisky sec et me dit avec une froideur déconcertant : — T’aimerais bien me baiser, hein ? Je suis désarmé. Tellement, que j’en reste bouche bée. C’est à ce moment-là que j’aurais dû faire ou dire quelque chose, mais son austérité est déconcertante. Puis elle ...
    ... continue, posément, articulant parfaitement chaque mot : — Hein que tu as envie de me baiser ? Hein ?… Comme tous les autres, tu dois te dire que j’ai une bouche à bouffer des queues et quand tu regardes mon petit cul maigrichon, tu te dis que t’aimerais bien le démonter. C’est à ce moment-là que j’ai compris que son côté « hors normes » me dépassait. Elle maîtrise tout. Le langage, la tenue toujours impeccable, les maladies, les rapports humains. J’ai affaire à une dominatrice. C’est à ce moment-là que la curiosité l’a emporté. Où veut-elle m’amener ? Je ne vous cacherai pas que j’ai eu peur. Mais l’excitation été là. Comme un gamin, j’ai murmuré un « oui ». — Tu bouges pas. Tu fais exactement ce que je te dis. Quand tu partiras d’ici, tu oublieras tout. Si tu en parles à quelqu’un, je porte plainte pour viol, je te ruine ta vie. C’est clair ? C’est à ce moment-là que j’aurais dû partir, mais je répondis timidement : — Oui. Sa domination était extrêmement excitante. J’avais vraiment envie de me la faire et j’allais me la faire ! Je devais juste me laisser faire et obéir. — Je vais me laver, me dit-elle ! Tu iras après moi ! Le mot « laver » résonnait en elle comme « désinfecter ». Dans ses mots, j’avais l’impression d’être le sale qui allait la souiller. Après elle, je passai sous la douche. Je retournai dans le salon, une simple serviette nouée autour de la taille. Le temps de ma douche, elle avait disposé un fauteuil face au canapé. Sur la table basse, quelque chose était ...