1. Du très haut niveau


    Datte: 17/09/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail fépilée, ffontaine, Masturbation Oral fgode, fdanus, fsodo, confession, totalsexe,

    ... à la suite des autres et l’enfonça dans sa chatte. Je ne faisais rien et je compris que je n’étais pour Margot, qu’une source de plaisir « naturelle ». Elle n’avait pas d’échanges avec moi. En résumé, elle se servait de moi. Ça m’excitait de n’être qu’une bite. Au bout d’un certain temps elle se retira et me demanda d’aller me laver. Lorsque je revins, elle était en train de se caresser sur le canapé. Elle me laissa la place et se saisit d’un gode aux proportions jusque-là inconnues pour moi. Je savais que cela existait pour avoir vu des vidéos sur internet, mais là, cela se déroulait sous mes yeux. Elle fixa le gode sur la table basse, grâce à sa ventouse. Il avait la taille d’une grande bite et avait à peu près le diamètre d’une canette de coca. Elle le lubrifia à l’aide du gel et se positionna debout face à moi qui étais assis sur le canapé. Elle se courba et sans me lâcher du regard, s’enfonça délicatement le gode à l’endroit même où j’étais quelques minutes auparavant. Son visage, rouge, congestionné, exprimait à la fois douleur et plaisir et laissait apercevoir quelques veines palpitantes sur les tempes. Une fois à l’aise, elle entreprit de très lents va-et-vient qui lui arrachèrent des cris mêlés de douleur et de plaisirs. À ce plaisir, elle ajouta une main sur son clito alors que je me masturbais face à elle en la regardant. Elle se branlait vite avec beaucoup de vulgarité dans le ...
    ... geste. Je vis rapidement du liquide s’écouler de sa chatte et bientôt, je reçus sur mes cuisses ses petites éjaculations. De mon côté, excité par le spectacle, je m’envoyais sur le ventre de grandes plâtrées de sperme. ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Notre liaison dura quelques mois, quatre ou cinq, à peine. Margot était aussi bizarre au pieu que dans la vie et je compris bien vite pourquoi elle était célibataire, sa sexualité telle qu’elle venait de la pratiquer avec moi faisait fuir beaucoup d’hommes. Elle était égoïste, et ne donnait du plaisir qu’aux hommes suffisamment ouverts pour se satisfaire de la voir en prendre. Je n’ai jamais pris son vagin. À chaque fois que nous nous voyions, elle avait une « lubie » et il fallait s’y soumettre. Je me souviens d’un week-end passé à Rodez où elle n’a fait que me sucer et réclamer que je lui arrose le visage. Une autre fois, je devais lui insérer des objets ou la fouetter. Je ne lui ai jamais fait l’amour et de là dire que je la baisais, c’est beaucoup dire. Elle prenait du plaisir devant moi, un plaisir décalé et je prenais du plaisir à ce décalage. J’ai pris mes distances, car passé la surprise, cette Margot avait un fond assez glauque et même si je cherchais une femme à la sexualité libérée, c’était trop pour moi. Du très haut niveau. Nous avons peu à peu cessé de nous voir. Elle a quitté l’entreprise quelques mois après. John 
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