Matin radieux
Datte: 31/07/2017,
Catégories:
fffh,
toilettes,
douche,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
gifle,
... présomptueuse.— Disons deux et demi alors, concède Lucile, qui embrasse à nouveau sa copine.— Alors ? je murmure à l’oreille de Agnès, on signe la paix ? Elle se retourne, regarde les deux filles et dit : — J’accepte tes excuses Lucile, on arrête là !— Ouais ! hurle Sylvie.— Serrez-vous la main pour fêter la paix des braves. Elles s’exécutent, se font un sourire un peu forcé, puis de façon inattendue, Agnès se penche et pose ses lèvres sur celles de son adversaire d’il y a quelques instants. — Allons à table, reprend Sylvie. Elle enfile un tee-shirt sur son corps nu, se dresse et part de suite à la cuisine. Lucile se lève aussi, la nudité resplendissante, et se dirige vers la chambre : — Je vais chercher quelque chose à te mettre. Elle revient rapidement, vêtue d’un peignoir chamarré qui évoque le Japon. La ceinture serrée met en valeur ses belles formes, l’ensemble lui va à ravir : c’est la classe dès le matin. Elle tend à Agnès un tee-shirt bleu clair et un peignoir blanc. Celle-ci remet son soutien-gorge. — Aide-moi. J’aime ces petits gestes familiers, comme de refermer la bretelle d’un soutien-gorge, ce signe d’intimité qu’on ne partage pas avec n’importe quelle fille de rencontre, et je ne me fais pas prier. Pendant qu’elle finit de s’habiller, je regroupe mes vêtements éparpillés et, mu par une subite impulsion, je décide de ne mettre que mon slip en plus de ma chemise, plus très nette d’ailleurs. Peut-être ai-je envie de maintenir l’ambiance sensuelle de ce petit ...
... matin, je dis petit, mais il est quand même pas loin de onze heures et je suis assez surpris que parmi nous quatre, personne n’ait la gueule de bois, ce qui aurait dû être le cas avec tout ce qu’on a avalé la veille au soir. On dirait que j’ai affaire à de sérieuses fêtardes. Rapidement la cuisine sent le café chaud et le pain grillé, et c’est avec plaisir et appétit partagés que nous nous installons autour de la table ronde. La conversation se réduit aux nécessités pratiques pour que chacun puisse déguster les ingrédients de cette table bien garnie. C’est au moment le moins attendu, que je sens soudain un pied sur ma cuisse nue. Il est évident que c’est celui de Sylvie, qui est en face de moi. Je songe spontanément : « Elle en veut cette cochonne, il va falloir qu’elle règle l’addition tôt ou tard ». Cette idée met aussitôt en transe mon zizi qui était au repos, d’autant plus que les explorations de Sylvie se font de plus en plus profondes et précises. — Au fait ! Cet après-midi, nous avions prévu d’aller voir Guillaume avec Lucile. Vous vous joignez à nous ? C’est un gars délicieux, vous verrez, et puis sa maison est trop agréable, c’est toujours un vrai bonheur que de passer l’après-midi et la soirée chez lui. Ça vous dit ?— Je ne sais pas si je dois accepter, je ne voudrais pas abuser, protesté-je par politesse. Quel hypocrite je suis, je n’ai envie que d’une chose, c’est de poursuivre cette escapade avec ces dames, quitte à partager avec quelqu’un d’autre. — Je l’ai déjà mis ...