Matin radieux
Datte: 31/07/2017,
Catégories:
fffh,
toilettes,
douche,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
gifle,
... invitée hier soir, et t’avais bien dans l’idée de la sauter, non ?— Ne sois pas vulgaire en plus. J’ai surtout pensé que ça lui ferait plaisir de sortir avec nous, pour qu’elle s’amuse. C’est pas un guet-apens que je lui monté, elle est libre avec moi…— Si tu veux, tant mieux ! Si tu veux pas tant pis ! Tu veux ou tu veux pas ? Lucile a lancé cette dernière pensée sur l’air de cette vieille chanson de Zanini, ce qui arrache un sourire à Sylvie. — Oui, eh bien ce matin, elle veut pas, point final ! Tu devras te contenter de moi encore une fois.— Mon petit bijou d’amour qui se plaint maintenant ! Mais je me contenterai de toi tout la vie !— C’est bien long ça, on verra ça à l’usure.— À l’usage.— À l’usage, si tu veux mon cœur. Les deux filles, plus détendues, s’embrassent alors sous nos yeux, enfin sous les miens puisque Agnès est toujours dans mes bras, à moitié pleurnichante. Sylvie se sépare de son amie et demande : — Et si on déjeunait, ça remettrait les idées en place à tout le monde, non ?— Et si on signait un protocole de paix avant, ce serait-y pas mieux ? Qu’est-ce que vous en pensez ? osé-je. Et pour donner plus de force à ma proposition diplomatique, je pose un tendre baiser sur le front d’Agnès, ce qui, je l’espère, devrait l’amadouer. Le silence gêné qui suit est suffisamment long pour que j’ai la très désagréable sensation d’avoir fait chou blanc. Heureusement Lucile rompt ce malaise : — Va pour la paix et allons manger.— Pas avant que cette, cette… qu’elle ...
... s’excuse, souffle Agnès contre mon épaule.— Tu as entendu Lucile ? relayé-je.— Je suis pas sourde, merci. Après un temps elle reprend : — D’accord, excuse-moi pour mon attitude un peu trop… amoureuse, mais que veux-tu ? Tu m’affoles avec tes seins, j’ai pas l’habitude…— Eh, ça suffit ! coupe Sylvie.— Bon, je le referais pas, je te touche plus à l’avenir, ça te va comme ça ? Mais Agnès ronchonne : — C’est pas vrai, je te crois pas. J’ai cru un bref instant que Lucile allait exploser, mais elle prend une profonde inspiration et reprend : — Non, c’est pas vrai, je suis prête à recommencer mais seulement avec ton autorisation expresse et puis aussi celle de ma tutrice sinon elle va me faire une scène elle aussi. Sérieusement, et sincèrement, je regrette, je ne pensais pas te froisser autant sinon je ne l’aurais pas fait. Je ne suis pas une violeuse tout de même ! Tu me crois, Agnès ? Devant la mine boudeuse de celle-ci Sylvie intervient : — Allez, Agnès, accepte ses excuses, je la connais bien notre Lucile, elle est un peu comme ça, complètement ouf parfois, mais elle est pas méchante, elle est même adorable en général. Arrêtons-là.— Ce serait dommage de nous pourrir la journée, alors qu’on est si bien ensembles, reprend-je.— T’as beau jeu toi, me rembarre Agnès en se serrant contre moi, t’as trois filles à ta disposition, tu es le roi.— Deux filles, reprend Lucile.— Quand je pense à la façon dont tu nous as fait reluire Monsieur hier soir, je te trouve un peu, comment dire… ...