Valérie, ronde et docile. (1)
Datte: 17/09/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fermé jusqu’au cou, à travers lequel on pouvait voir se dessiner la dentelle d’un soutien-gorge à balconnet. Joliment coiffée, les cheveux châtains clair ondulés, un maquillage un peu trop soutenu, typique d’une jeune femme qui doute de ses charmes, elle s’est approchée très nerveuse, en m’apercevant sur une banquette dans un coin. « Bonjour, je suis Valérie. Vous devez être Stéphane ? » « Oui, vous êtes magnifiques ! Vraiment beaucoup plus belle que je ne le croyais. Asseyez-vous donc, qu’est-ce que vous prenez ? » « Heu, un coca sans sucre. » « OK, un coca avec sucre, avec moi tous les excès sont permis ! » Après une heure à blaguer, la charmer, la fait rougir, on s’est quitté sur un petit piou ... et je l’ai laissée partir, les pommettes toutes rouges, un sourire illuminant son visage. Ce que j’aime voir une femme heureuse lorsqu’elle me quitte ! Les rendez-vous qui ont suivi se sont fait chez elle, toujours dans l’après-midi, afin d’éviter une rencontre malheureuse. Mais comment amener, une jeune femme complexée et timide, à devenir une esclave docile ? … Ce coup marche toujours : Alors qu’on était allongé, assez dénudé, en train de s’embrasser et de se caresser, quelqu’un trifouilla la serrure et puis frappa à la porte. Elle a sursauté, poussé un cri et tenté de réenfiler son chemisier, tandis que je cachais le soutien-gorge sous les coussins. En trottinant vers l’entrée, elle rabaissait sa jupe sur ses grosses fesses et j’admirais les nichons qui ballottaient nus, ...
... avant qu’elle ne referme les boutons. C’est très nerveusement, finissant de se rhabiller, qu’elle lorgnait à travers le judas. … Ouf, ce n’était pas son petit copain qui rentrait tôt et qui avait oublié ses clés ! Juste un voisin, qui s’était trompé d’étage. Il faut pour ça un ami, qu’on laisse rentrer dans l’immeuble et qui attend le moment opportun pour agir ! Je la récupérais, tremblante, les jambes flageolantes, la voix entrecoupée de sa respiration saccadée, heureuse et encore sous le choc. L’adrénaline fait alors son effet, du stress on passe à la grande euphorie ! C’est le moment d’agir ! « Mon dieu ! Tu trembles de partout, quelle trouille ! » « Tu m’étonnes, tu imagines si ça avait été lui ! Ah, c’est fou, je n’arrête pas de trembler ! » « Tu as eu chaud, mais si c’était lui, tu dois pouvoir le regarder en face sans montrer tes émotions. Je vais t’aider à faire ça. Tu dois te sentir coupable, n’est-ce pas ?» « Oui, j’ai toujours peur qu’il comprenne ! » « La seule solution, c’est que je te punisse pour ta mauvaise conduite, ainsi, déjà punie, tu ne te sentiras plus coupable d’avoir pris du plaisir sans lui et ça t’aidera à faire redescendre tes émotions et à redevenir la petite bonne insignifiante qu’il s’attend à retrouver. » « Crois-moi, ajoutai-je, je sais de quoi je parle. J’ai toujours vu dans les yeux de ma femme lorsqu’elle me trahissait ! Et elle a toujours su quand c’était moi. Jusqu’au jour où j’ai divorcé ! Je ne te le souhaite pas et je veux que tu puisses ...