1. Valérie, ronde et docile. (1)


    Datte: 17/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... zone, tandis qu’elle poussait des petits "non, non, non" et puis je claquais sèchement sa fesse, la faisant se cabrer et pousser à nouveau un long cri. rnsrbbxq Par moment, elle se frottait les fesses, pour marquer une pause. Alors je la laissais un instant reprendre son souffle et je lui faisais constater que son joli visage n’avait pas disparu. Donc je lui replaçais les mains autour du lavabo et je reprenais les grandes claques sur son gros cul, la faisant à nouveau crier. J’adore les gros culs, larges, ronds et fermes, ils sont idéals pour de longues fessées. Elle sautillait sur place, les fesses prises de spasmes et suppliant que j’arrête la punition. Je m’approchais alors doucement d’elle et, posant un baiser sur son épaule, je lui murmurai : « Le seul moyen, en fait : c’est que tu pleures à chaudes larmes ! Seule une grande souffrance peut effacer un si grand plaisir. Et je suis très fier de devoir te punir si fortement, ça veut dire que je t’ai pleinement rendu heureuse ! » « Oh oui ! Mais ça brûle, je ne sais pas si je vais y arriver. » « Soit tu acceptes et nous continuerons de nous voir, soit tu renonces et je serais obligé de te quitter ! Je ne laisserais pas une nouvelle fois un homme tabasser une femme, juste parce qu’il est cocu ! » « D’accord, j’accepte. » Dit-elle d’une voix mourante. Ayant obtenu son accord, je prétendais l’aider en accélérant maintenant les claques sans plus les retenir, afin de faire monter les larmes encore plus vite et d’en finir. Elle ...
    ... acquiesça de la tête et s’agrippa aux meubles en attendant la suite. Je pris alors un instant pour me délecter de ma proie, je laissais ma main glisser de ses cheveux dans son dos et jusqu’à la naissance des fesses, appuyant dans le creux des reins pour amplifier leur courbure et admirant ce cul désormais à moi ! C’est maintenant que mon instinct sadique se dévoile complètement et je me mis à fesser ma victime sans plus aucune retenue, la saisissant par la taille d’un bras, je frappais les grosses fesses qui se trémoussaient devant moi. Elle avait beau crier, supplier, se débattre et m’implorer, je continuais inlassablement à lui rougir le cul, en bandant toujours plus fort. Mon sexe nu, collé contre ses hanches, était écrasé par nos deux corps et chacun de ses mouvements faisais se décalotter mon gland. Bref, je me branlais contre elle, tandis que ses cris résonnaient dans ma tête. Mes claques faisaient se secouer les fesses bien grasses et l’onde de choc remontait jusque dans mon bras. Épuisé, la main bouillante, je relâchais enfin ma victime qui s’écroulait à genoux en pleurant à chaudes larmes. Elle n’arrivait pas reprendre son souffle et se frotter les fesses, les yeux brouillés de larmes, la bouche grande ouverte, respirant par saccades. Je l’aidais alors à se relever doucement et tendrement, je lui caressais les épaules en lui montrant son visage dans la glace. Il était noyé de larmes et elle avait perdu son beau sourire de femme heureuse et épanouie. À nouveau elle ...