1. Emilie, mon épouse ; Caro et moi


    Datte: 19/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, fplusag, Collègues / Travail piscine, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, portrait,

    Par un bel après-midi d’été, ma femme eut la bonne idée d’inviter Caro, une jeune collègue de bureau, pour un bain de soleil à la maison. Elle savait que je serais présent toute la journée et que je ne manquerais pas de venir saluer son invitée au moment opportun. Émilie me sait grand admirateur de la gente féminine. À l’heure dite, Caro se présenta à la porte, ma femme l’accueillit et la fit entrer. Mon bureau jouxtant le hall, je pus les entendre se souhaiter le bonjour, se dire combien elles étaient contentes de se voir en dehors du bureau pour profiter ensemble de cette journée. La voix de Caro était basse, ce qui me plut. Au bruit de leurs pas sur le carrelage, je devinai qu’elle devait porter des sandales à talons, tout comme ma femme. Je laissai passer une heure avant d’aller saluer l’invitée, comme il se doit, afin d’être certain de les voir en maillot de bain. Je les rejoignis au bord de la piscine. Ma femme nous présenta, Caro se leva du transat où elle était installée, nous nous embrassâmes. Elle se rassit et reprit de passer de la crème solaire sur les jambes de ma femme. Celle-ci était couchée sur le dos, ficelle de son top détaché, visage me faisant face. Je pus remarquer un bref rictus sur sa bouche qui m’indiqua que mon arrivée l’avait quelque peu contrariée. Son dos, ses épaules ainsi que la partie dénudée de ses seins étaient déjà luisants, huilés. Des œuvres de Caro ? Probablement. Caro était bien faite : longues jambes, hanches larges, seins lourds que ...
    ... soulignait le top de son bikini triangle blanc qui tranchait bien sur son teint halé. Que mon épouse se laisse huiler, peloter par une autre femme à la maison, ça me plaisait. Elle n’a jamais admis ses tendances saphiques. Pourtant, la majeure partie des films érotiques présents sur son portable indiquent le contraire : principalement MILF vs jeunette. Et plus précisément des jeunettes qui séduisent et initient des femmes comme la mienne, qui à quarante-deux ans est assez portée sur la chose. Me croyant endormi, je l’ai déjà entendue à maintes reprises, en matant un film au lit, laisser échapper en sourdine desQuelle garce, celle-là !,Quelle pute !Bouffeuse de chattes, hein ! Quand ces évènements nocturnes se produisent, je ne manque pas, au matin, de constater dans le panier à linge qu’elle a bien souillé sa petite culotte, et copieusement, la plupart du temps.Qui est la plus garce ? Les actrices ou toi qui te branles en les regardant ? Caro s’appliquait vraiment à la tâche. Ayant commencé par les mollets, elle remontait maintenant jusqu’au haut des jambes. Ma femme écarta un peu les jambes afin que Caro puisse bien lui faire l’intérieur des cuisses, puis finit par les hanches. La vue de mains étrangères se promenant sur le corps de ma femme, parfois près proches de son entrejambe et en ma présence, me fit durcir ! Caro, jouait-elle la candide ? Essayait-elle de séduire ma femme ? — Tu aimes masser le gens à ce que je vois, lui dis-je.— Beaucoup, surtout les femmes, les belles ...
«123»