1. Emilie, mon épouse ; Caro et moi


    Datte: 19/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, fplusag, Collègues / Travail piscine, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, portrait,

    ... femmes, me répondit-elle.— Merci pour le compliment, ma chérie ! rétorqua ma femme. Ce massage est divin, j’adore ! Prends-en de la graine, mon amour ! Croyant deviner ce qui se tramait entre elles et ne voulant pas contrarier le processus, je les laissai, prétextant une course urgente. Je montai en quatrième vitesse au grenier, m’étant muni au préalable de notre caméra HD, installai l’appareil devant une petite fenêtre en zoom x12 sur elles, puis quittai le domicile. J’avais vu Caro prodiguer ses soins. Peut-être verrais-je ma femme en faire de même : huiler, masser sa collègue, la mater tout à son aise, laisser traîner une main sur le bas du dos, un genou, lui sourire, flirter… Avant de sortir, je me retins de passer par la salle de bain pour me vider au plus vite de mon jus. Pour tuer le temps, je retrouvai quelques amis au bistrot, tapai la carte avec eux. Je fis des erreurs au jeu, perdu dans mes rêves, mes souhaits. Mes amis ne tardèrent pas à me taquiner sur un prétendu dossier brûlant ! Émilie ne fit parvenir un texto en fin d’après-midi :Je vais faire un peu de shopping puis manger un petit bout avec Caro. Rentre vers vingt heures. Bises. Après avoir terminé la partie de cartes, je pris congé de mes amis et fonçai à la maison désertée. Étaient-elles parties acheter des fringues, de la lingerie ? Afin de pouvoir encore s’admirer, se toucher en s’aidant mutuellement à se dévêtir, se vêtir, sous l’œil d’une vendeuse comme alibi à leurs effleurements un brin déplacés ...
    ... ? Qui sait ! Après un passage par le panier à linge, et slip de bikini d’Émilie resté immaculé à ma grande déception, je montai au grenier regarder l’enregistrement. Caro était allongée sur le dos, la tête tournée vers ma femme toujours couchée sur le ventre, fixant son corps. Elles papotaient, riaient toutes deux. Cela dura un moment jusqu’à ce qu’Émilie se retourne. Caro se redressa, s’agenouilla près d’elle, prit le flacon d’huile et recommença son manège : les jambes ; le ventre, les flancs. Très lentement, tout à son aise. Puis ma femme ôta son top. À ce moment, je crus comprendre que Caro la complimenta sur sa poitrine. Ce qui fit rire et sûrement rougir ma femme puisqu’elle la recouvra un instant de ses bras. Caro lui passa quand même les mains sur les seins délicatement, les caressant afin de les enduire de crème. Ma femme ne broncha pas, ne laissa pas ses tétons pointer, se durcir entre les mains de sa jeune collègue et sembla se laisser aller à cette douce sensation en relâchant les muscles de ses jambes. Son visage exprimait un bien-être qui avait l’air de ravir Caro. Par la suite, plus rien d’aussi sensuel ne se passa. Mais que de sourires complices ! De la pure drague. Au bout d’un moment, elles se levèrent et quittèrent la scène. Ce petit film confirma bien les penchants lesbiens refrénés de mon épouse. Cette fois-ci, direction salle de bain ! Mon film dans la tête : Émilie et Caro en 69 sur le lit. Caro, la tête enfouie entre ses cuisses, la langue entre ses ...