1. brother'n sister (3)


    Datte: 21/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Le reste de la soirée se passa sans rien à noter de spécial. Mon père, vivant seul avec nous deux depuis le décès de ma mère deux ans plus tôt, partit, comme tous les dimanches, faire la tournée des bars de la ville à quinze heures et revint vers vingt-deux heures, ivre. Mon frère, quant à lui, avait passé sa journée à travailler. Il était en classe de terminale scientifique et avait passé des heures devant sa calculatrice à tracer des courbes censées représenter la trajectoire d’une balle que l’on lançait. Seulement, mon frère, ayant pris un peu d’avance, avait décidé de créer un logiciel informatique permettant de faire exactement la même chose, à la différence près que, contrairement à ce que l’on pouvait trouver dans ses livres d’exercice, la vitesse du vent était variable et la balle tournait sur elle même. Il essayait parfois de m’expliquer, en vain. Moi, j’étais plutôt littéraire, je préférais écrire que calculer, d’où ma terminale littéraire. Mon frère me disait toujours que je ne pourrais pas me servir de ce don que j’avais, celui de captiver mon lecteur rien qu’avec la pointe de ma plume. Je n’étais pas d’accord avec lui, j’étais persuadée que l’art d’écrire pouvait ouvrir une voie que celle du calcul ne pouvait pas, mais il me riait toujours au nez. Même aujourd’hui, il continuait de le faire après que je lui aie offert mon corps. Au final, ce dimanche fut banal et bientôt, vers onze heures et demi du soir, nous décidâmes d’aller nous coucher. Je me réveillai le ...
    ... lendemain matin lorsque mon réveil sonna. Il était hors-de-question pour moi de me masturber comme je l’avais fait la veille, le temps me manquait. Je me levai alors de mon lit après avoir arrêter le sonnerie assourdissante de mon réveil sur batterie. Je pris les vêtements que j’avais copieusement choisi la veille et me rendis dans la salle de bain, libre de toute présence. C’était étrange, d’habitude, mon frère, à cette heure, était toujours à l’intérieur. Je me rappelai alors qu’il commençait à huit heures le lundi contre neuf heures pour ma part. Je me déshabillai et me regardai alors dans le miroir. Rien en moi n’avait changé. Mon visage était resté le même, mon ventre également, mes fesses, mes cuisses, mon pubis, ma poitrine, rien n’avait évolué ; et pourtant, depuis hier seulement, j’étais devenue une femme. Après mon inspection, j’entrai dans la douche et laissai couler l’eau sur mon corps. Je me savonnai -en passant exagérément plus de temps que nécessaire à laver mon entre-jambe- et massait mes cheveux avec mon shampoing habituel. Lorsque vint le tour de me nettoyer, je fis couler la moindre trace de savon le long de mon corps jusqu’à ce que toute la mousse fut aspirée à travers le siphon. Je n’en coupai pas l’eau pour autant. Je plaçai alors la poire au niveau de mon clitoris et augmentai la pression. Je fus aussitôt parcourue d’un frisson d’une douceur stupéfiante. Je continuai ainsi plusieurs secondes, mais j’eus besoin de plus. Je décidai alors de placer un des ...
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