1. brother'n sister (3)


    Datte: 21/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... le nettoyage terminé, je me relevai et, essoufflé, il me demanda : -C’était magique mon trésor, mais dis-moi, tu n’as pas cours aujourd’hui ? -Si, mais ne t’en fais pas, j’ai le temps, je ne commence qu’à neuf heures. purpmmsw Soudain, il me regarda inquiet. -Salomé, il est onze heures moins le quart. Fort heureusement, mon père avait pu me conduire au lycée. Quelle idiote j’étais ! J’avais oublié que j’avais déréglé mon réveil pour le faire sonner à dix heures la veille. J’étais maintenant dans le bureau du proviseur à lui raconter la raison de mon retard mais il ne me crut pas. -Voyons mademoiselle, soyez sérieuse, je ne vais quand même pas croire que vous ayez changé les habitudes de votre réveil pour un dimanche durant lequel vous n’êtes pas sortie de chez vous. -Mais monsieur, je vous jure que c’est vrai ! -Ne me prenez pas pour un idiot jeune demoiselle ! Lorsque l’on décide de faire sonner son réveil un dimanche, c’est pour une bonne raison, et des bonnes raisons, vous n’en aviez aucune. En réalité, si, me masturber avec, mais je ne pouvais certainement pas lui avouer ce détail. Je décidai alors de me taire jusqu’à nouvel ordre. -Vous ne dites plus rien, bien. Salomé, vous savez très bien que le règlement de l’école est très strict. Je me vois donc dans l’obligation ...
    ... de vous coller quatre heures ce samedi. Cette annonce me foudroya sur place. Moi, collée. Je n’aurai jamais cru cela possible. J’avais toujours été docile à l’école, je n’avais jamais chercher à créer de conflits et me voilà collée pendant quatre heures. J’étais écœurée. Je sortis donc dans le couloir, en larmes, quand mon frère croisa mon chemin alors qu’il se rendait lui aussi dans le bureau du proviseur. -Tu pleurs ? me demanda-t-il. J’acquiesçai. J’attendis qu’il se moque de moi comme il en avait l’habitude mais il n’en fit rien. -Je suis collée, fis-je. Samedi, pendant quatre heures. Il me regarda tendrement puis, discrètement, il glissa, sans que je puisse rien y redire, sa main dans ma culotte. Ses doigts se perdirent au niveau de mes fesses. Là, il eut la désagréable surprise de sentir mon anus dilaté et rempli. Je n’avais pas eu le temps de me vider à la maison. Même s’il essaya de se contenir, il eut du mal à me cacher sa colère. Il entra en trombe dans le bureau du proviseur. Je ne pus rien entendre de ce qu’ils se disaient, mais lorsque Antoine sortit, il me sourit et m’assura que ma punition était levée. J’étais rassurée jusqu’à ce que je vois le visage du proviseur. Su son visage, on lisait très clairement une seule et unique émotion très violente : la peur. 
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