1. Démons et merveilles


    Datte: 01/08/2017, Catégories: fff, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral lettre,

    Résumé des épisodes précédents La rencontre inattendue Entre soi, ou presque… Complicités téléphoniques Au début de ce « cadavre exquis », le hasard d’un shopping amène Chantal à découvrir des affinités réciproques chez Sophie, charmante vendeuse. Ayant approfondi leur connaissance mutuelle en salon privé, elles partagent diverses fantaisies érotiques. Un appel téléphonique de Chantal à Babette et Marion, les jeunes filles qu’elle héberge, met celles-ci dans la confidence. Les deux complices se rendent chez Chantal pour une rencontre à quatre. __________________________ Pendant que tu parlais aux gamines, j’ai dégrafé ta robe qui a glissé le long de tes jambes. Tu es nue, comme tes "protégées". — Oh, dis, Sophie, tu triches : t’es la seule encore habillée ! réagit Marion. Elle passe dans mon dos pour m’enlever mon chemisier et dégrafer ma jupe. Nous sommes nues toutes les quatre. Je prends les filles une dans chaque main, les fais tourner devant moi pour les mieux les admirer. — Mais vous êtes belles à ravir, mes deux chéries… leur dis-je. Tu m’as saisie par les épaules, tu t’es rapprochée de moi et me colles ta poitrine contre mon dos, tes mains soutenant mes seins, tandis que j’attire et éloigne tes puces l’une après l’autre. En les attirant, je les enlace, les fais tourner sur ma poitrine, leurs seins contre les miens. Parfois, je les attire toutes les deux à la fois, chacune sur un sein. Puis Babette m’entraîne hors de sa chambre ; j’entraîne à mon tour Marion et tu ...
    ... nous suis. — On va dans la chambre de marraine, dit Babette, le lit est plus grand ! Arrivées là, Babette se laisse tomber sur le lit (effectivement un grand lit, au moins 1,60 m de large) en m’entraînant dans sa chute. Marion et toi, vous nous suivez. Nous sommes toutes l’une sur l’autre sur ton grand lit. Babette et moi sommes dans les bras l’une de l’autre, nous nous caressons les seins mutuellement et nous commençons à nous embrasser, tantôt sur la bouche, tantôt sur les seins. Je me rends compte que, de votre côté, vous agissez de même. C’est vrai, pour Babette et Marion la nudité est une habitude ! Comme pour leurs mères et pour moi quand nous sommes ensemble… Il est vrai que nous n’en sommes plus au stade de la pudeur, depuis longtemps… disons presque dix ans. Mais pour une nouvelle amie, aussi intime que toi et moi le sommes devenues en si peu de temps, nous avons un petit rituel. Pour le respecter, Marion et moi interrompons gentiment ce concours d’amour que tu as lancé dans ton impatience de goûter aux délices de Babette.« Ne t’inquiète pas, ma douce, tu vas pouvoir très vite t’en régaler tout ton saoul… » Je te relève doucement par les épaules et, toute caressante sur tes hanches et ton ventre, je t’installe devant Babette qui s’est d’elle-même retournée sur le ventre pour présenter son fessier bien cambré. Marion tendrement accrochée à mon cou, je m’assieds à côté d’elle sur le lit. Babette plie ses genoux et je saisis une de ses chevilles. — Regarde comme elle a de ...
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