1. Démons et merveilles


    Datte: 01/08/2017, Catégories: fff, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral lettre,

    ... frémissements, les contractions légères du cratère rose. Tu m’autorises enfin à l’embrasser. Oh oui ! Mes mains remplacent les tiennes sur les fesses de Babette. Ma langue se tend vers cette fleur, ma bouche se pose sur ses pétales, ma salive l’humecte doucement, tendrement, longuement. Je goûte la saveur la plus intime de Babette, sa tiédeur, son odeur. Ma chatte s’inonde. Une touffe blonde frise le mont de Vénus, au ras de la fentine qui se devine entre les cuisses encore serrées. Elles obéissent docilement à la pression de mes mains et s’écartent, de plus en plus largement, te révélant une figuette allongée, à peine marquée par les légers bombements jumeaux des lèvres lisses. Quand les jambes atteignent la position du grand écart, les deux renflements de chair rose se décollent et découvrent les bordures finement ourlées des nymphes. Une discrète brillance trahit l’émoi de cette présentation. Je pose avec précaution la pulpe de mes doigts sur les bords sensibles. Petit à petit, j’agrandis l’entaille jusqu’à faire ressortir le repli du capuchon. Une muqueuse rose vif pointe son nez. Je repousse doucement la peau douce, j’élargis lentement les pétales de cette orchidée qui expose ouvertement sa rosée. Je masse délicatement le bouton sous sa cachette entre le pouce et l’index. Je forme un V avec les doigts de l’autre main pour presser les nymphes et te montrer le pastel du corail, le secret orifice de l’urètre, l’orée plus rose du vagin tapissée d’une humidité onctueuse. ...
    ... Babette s’est couvert la figure d’un bras replié, sa poitrine se soulève par saccades. Marion contemple tendrement le sexe écarquillé de sa copine. Je te regarde affectueusement. — Voilà, Sophie chérie, tu connais tous les trésors de Babette… Veux-tu les découvrir encore mieux tout de suite, ou préfères-tu apprécier d’abord ceux de Marion ? Je me suis mise à genoux, les fesses sur mes talons, les cuisses à demi ouvertes, subjuguée par l’obscénité de cette exhibition, terriblement excitée par le spectacle offert. Mes mains pressent mes seins comme tu presses la motte de Babette. Elles descendent toutes seules sur ma chatte et l’écartent comme tu ouvres sa figue rose. Je fixe son petit bourgeon en pinçant mon bouton si fort que je gémis de plaisir. Marion masse doucement tes lèvres gonflées. Elle regarde en souriant les fils de mouille qui empoissent mes doigts, qui gouttent sur le drap du lit. Ensemble nous portons notre main à la bouche ; elle suce ton jus, je suce le mien. J’aimerais que ce soit celui de Babette. Je vois sa respiration haletante, ses petits seins qui sursautent, ses tétons qui pointent. Je comprends votre jeu, je devine ce qu’elle éprouve, je l’envie… Tu m’imposes un choix impossible. Boire tout de suite Babette, oh oui, je le veux ! Mais voir s’ouvrir les trésors de Marion, sentir son trouble, exaspérer mon propre désir… oui, oui, je le veux aussi ! Pour quelle tentation me décider ? Tu es diabolique ! Je fouille furieusement ma chatte, comme si j’allais ...
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