1. Adultes consentants


    Datte: 22/09/2018, Catégories: grp, sexshop, fête, fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme confession,

    ... aux commissures des lèvres. Va-t-il cracher son jus dans ma gorge ? Lorsqu’Agnès m’a demandé d’être sa soumise, elle m’a donné un document à lire et à signer. Un contrat entre elle et moi. Évidemment, dans ce contrat on parlait de protection en particulier, l’usage ou pas de capotes. Je devais lui fournir des résultats d’analyses et elle se chargerait de contrôler ceux ou celles qui seraient mes partenaires. Mais la réponse ne se fait pas attendre. Il me libère. J’ai la stupeur de découvrir dans le miroir mon visage ravagé. Le maquillage a coulé, entraîné par mes larmes et ma salive. Elle est loin, la Laure, bourgeoise élégante. Si ma maquilleuse avait utilisé des produits « waterproof », je ne serais pas dans cet état. Mais… soudain je comprends. Tout est pensé et calculé par Agnès. Cela fait partie de son plan. Quelle perverse ! Ravagée ! Rabaissée ! Humiliée ! Soumise ! Aux ordres ! Pute livrée à tous ! Voilà ce que je deviens. La queue qui m’a laissé le temps de cette réflexion a fait son chemin. Le miroir me confirme que les mains qui se saisissent de mes jambes sont celles d’Hugo. Un Hugo qui n’a aucune difficulté pour se placer. Je sens la pression de son bâton contre ma fente. Il va me prendre. On dirait qu’il se prépare. Ses muscles se tendent. Il va…. — AHHHHHHHhhhhhhhhhhh ! Je craignais la douleur d’une possession brutale, mais ce n’est que la puissance d’un mandrin qui glisse dans une chatte ouverte. Mon baiseur a trouvé un orifice ouvert, déjà humide et ...
    ... impatient d’être occupé. Normalement, j’ai besoin de longues excitations – et encore… – pour que je sois prête. Mais ce soir c’est différent. Pourquoi ? La queue vit en moi. Mon vagin est d’une sensibilité extrême. On le dirait impatient, aux aguets, prêt à tout. C’est bon. J’avais oublié combien un sexe d’homme, chaud, vivant, est agréable. Celle-ci est particulière ; c’est un peu comme une première fois, du fait de ma longue abstinence. Mais Hugo ne s’attarde pas à ces détails. — Elle est ouverte et humide. Tu avais raison, chérie, elle en veut… Même si elle ne le sait pas encore. C’est de moi qu’il parle. Aussitôt il s’active. Le hamac est une merveille de légèreté. Le miroir me montre une queue immobile et mon ventre qui se précipite sur elle. Mes fesses claquent sur les cuisses. Clac ! Clac ! Clac ! C’est bon. C’est chaud. Mon ventre brûle. Mon sexe est si sensible… si sensible ! Puis une ombre me cache le plafond. Un vaisseau est en approche. — Oui, Paul, bourre-lui la gorge. Tu vas voir, elle aime cela. Encore la voix d’Hugo. Le Paul ne s’arrête pas en chemin. Bientôt j’étouffe avec la bite enchâssée au plus profond. Il est long, si long que je manque d’air. En plus, Hugo me baise en me balançant, repoussant ma tête au contact. Je vais mourir étouffée. Je pleure. Je vais hurler. Mais comment faire, la bouche occupée par un tel engin ? Heureusement, les deux hommes s’accordent. Ils trouvent le bon rythme. Ouverte en haut ! Ouverte en bas ! Ils me baisent. Je ne suis qu’une ...
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