Adultes consentants
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
grp,
sexshop,
fête,
fsoumise,
Oral
fgode,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
sm,
attache,
BDSM / Fétichisme
confession,
... refusé et accentue ainsi la pression de la boule. Mais Claire jouit. J’aimerais goûter son jus. Est-il différent de celui d’Agnès ? Mais on ne me l’accorde pas. Pire, on m’éloigne. Avec le recul, je vois maintenant que des habits sont tombés et que certaines verges sont à l’air. C’est un soulagement de pouvoir respirer à pleine bouche une fois que le bâillon est enlevé. Mon cul ne se plaint pas d’être aussi abandonné. Pourtant je le sens encore entrouvert alors que plus rien ne l’occupe. Pendant mon premier labeur, quelqu’un a tiré un des rideaux. On m’entraîne encore. Je découvre un hamac qui descend du plafond. Un hamac particulier. Très particulier. Sa base est de cuir, et lorsqu’on m’y fait allonger, je constate qu’il est étroit, juste élargi aux épaules et aux hanches. Impossible de tenir sur cette étroite bande. Mais bien vite les quatre cordes qui le retiennent servent de tuteurs pour me ligoter bras et jambes. Chaque mouvement déclenche un mouvement de balancier. Ma tête est dans le vide. Je me vois. Mais oui, je n’avais pas remarqué, mais les attaches du harnais semblent émerger d’un miroir. Pas de doute qu’Agnès soit passée par là. Elle aime manipuler les gens, c’est évident, mais aussi bien leur corps que leur esprit en fournissant tout ce qu’il faut pour que le cerveau participe. Je suis totalement disponible. Offerte. On peut faire de moi ce que l’on veut. D’ailleurs un homme s’approche. Hugo. Hugo nu, la verge à peine tendue. L’invite est évidente. J’ouvre la ...
... bouche. Il se glisse en moi. Cela fait des mois que je n’ai pas sucé un homme, ni… ni rien, d’ailleurs, depuis que je suis ici à part ce que m’a demandé Agnès. Le serpent est tout en moi. Les couilles chatouillent mon nez. Chaque mouvement que je fais déclenche des oscillations. Pour un peu, la tige serait expulsée. Mais on me stabilise. Deux mains ont saisi mes bras et leurs tuteurs. Maintenant je ne bouge plus. C’est dans ma gorge que le mouvement se produit. Ma langue est repoussée. La tige gonfle, durcit, s’allonge, et voici qu’elle m’étouffe en déclenchant un réflexe de défense. Mon envahisseur comprend. Il recule. Mes yeux voient passer une hampe et un gland déjà gras de ma salive. Mais c’est pour mieux replonger. En réalité, c’est moi que l’on approche du mandrin. Je suis la balançoire. Ma bouche est un trou que l’homme utilise pour se baiser. Bien sûr, certains de mes partenaires ont aimé m’aider de leurs mains alors que je les suçais. Je sais combien pour un homme voir sa queue disparaître dans une gorge de femme est un fantasme. Dans ma recherche de la jouissance, j’ai autorisé beaucoup de choses. Mais pour quel résultat, à part une réputation de salope ? Rien ! Ou si peu ! Ou si rarement ! Hugo ne se pose pas de questions. Il me baise la gorge comme je l’ai vu baiser celle de Régis. Je suis aux premières loges pour entendre sa queue provoquer le ressac de ma salive brassée. Mon visage est humide. Des filets coulent de la queue lorsqu’il la ressort et je sens couler ...