L'achat
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bizarre,
fsoumise,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fouetfesse,
... homme marié à te faire larguer par sa maîtresse pour un plus riche, et à se faire pincer par sa femme. Pour l’instant, il gémit, c’est tout ce qu’il sait faire. Miss Gladys nous apporte un remontant à tous les deux. Tandis qu’elle quitte la pièce, mon fils la suit du regard. Puis une fois qu’elle est sortie, il lâche : — Je n’arrive pas à la cerner…— De qui parles-tu ?— De Miss Gladys, Père. Je regarde longuement la porte avant de répondre : — Moi-même, je n’y arrive pas. Revenons à nos poules, nos moutons et nos cochons. Que comptes-tu faire avec ta femme ?— C’est-à-dire, Père ?— Tu veux rester avec elle ou tu veux la quitter ?— Je… je ne sais pas… je ne suis pas du tout certain qu’elle veuille encore de moi… Si vous aviez vu comment elle me regardait, encore ce matin !— Les femmes blessées sont les plus dangereuses. Surtout que vous avez fait tous les deux un mariage d’amour, il n’y a pas si longtemps que ça.— Oui, c’est vrai, mais… Mon fils hésite à poursuivre. Je le relance : — Mais quoi, Oliver ?— Elle a changé lors de la naissance de notre premier enfant, et ça ne s’est pas arrangé avec la naissance des autres…— En clair, elle est devenue une mère et non plus ton amante ?— Comme vous y allez, Père ! Je pense avoir deviné la source initiale du problème, j’insiste : — Je me trompe ?— Non, vous avez raison… Voilà donc le cœur du problème. Rien de bien méchant, mais s’ils en avaient un peu discuté entre eux, nous n’en serions pas arrivés à cette extrémité. Ah le manque de ...
... communication entre hommes et femmes ! Moi, j’ai eu la chance de pouvoir m’ouvrir de bien des choses avec ma regrettée femme. Elle avait une culture assez faible, une éducation bâclée, mais une redoutable dose de bon sens. Je pose ma main sur l’épaule de mon fils qui sursaute sous le contact. Je lui ordonne : — Suis-moi, je vais aller parler de ce pas à ta femme, tandis que tu attendras dans le fiacre.— Vous… vous allez lui parler ? Mais de quoi ?— Je vais voir si je peux recoller les morceaux. Il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud, et ne surtout pas laisser la situation pourrir. Si j’y arrive, alors tu devras faire un effort envers ta femme, non, ta maîtresse. Traite-la comme si elle était ta maîtresse.— Mais… mais c’est ma femme !— Et pourquoi ta femme ne pourrait-elle pas être aussi ta maîtresse ? Une bonne partie de tes problèmes vient de là ! Alors, Oliver, j’essaye ou je n’essaye pas ? Tu te sens d’attaque à vivre avec ta femme, comme au début de votre mariage ?— Essayez, Père… mais j’ai des doutes…— On verra… Viens ! Il m’obéit sans discuter. Il me suit, les épaules voûtées, comme s’il portait toute la misère du monde. On voit bien qu’il n’a jamais eu à affronter des vraies situations désastreuses ! Bien que l’éventualité de la ruine de son mariage ne soit pas une simple amusette, je le lui concède. Même si ma bru est très remontée contre mon fils, je sais que je lui en impose assez pour qu’elle accepte de me recevoir. J’entre dans le salon où elle se tient. ...